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Récupération 24 DEC 2016 - 4 AOUT 2018

Dernière mise à jour : 14 janv. 2022


11 janvier 2017

La fille du couvent, 6 ans plus tard

Les combats menés par les femmes au XXème siècle sont multiples et variés. Comme Eliane Viennot, La fille du couvent intègre toutes les luttes notamment celle contre le déni de réalité du virus VIH qui m’avait valu des coups de marteau le 22 juillet 1991 et qui reste criante d’actualité. Il y a tant de comportements rusés, pour ne pas dire criminels, sur lesquels on a tendance à fermer les yeux alors qu’ils devraient être dénoncés avec force. J’invite les femmes et les honnêtes hommes à crier avec moi tout au long de l’année 2017 au cours d’une rencontre, une conférence, un débat, … et la société à entendre ce cri.

Un infini merci au Dr. Philippe KORSEC, ce médecin et voisin au rez-de-chaussée de mon immeuble qui m’avait prise en charge maintes fois suite aux violences conjugales et dont « le geste qui sauve » a permis d’arrêter l’hémorragie avant les soins hospitaliers ce 22 juillet 1991. Après une vive discussion cet après-midi, il attire mon attention sur le fait que « la violence n’est pas à sens unique, d’homme à femme. Elle n’est pas l’apanage d’un sexe, mais celui d’un être débordé lui-même par la haine qu’il ne sait pas maîtriser. Paragraphe à exploiter postérieurement en s’inspirant des sites canadiens ». Rendez-vous le 21 février à 18 h. Que 2017 soit follement militante et mobilisatrice!

Philomène Milolo

20 janvier 2017


2 février 2017

"Voici la liste des intellectuels Congolais formés dans les universités suisses: 1960-1996", intitulé publié par Augustin Odimba le 28 novembre 2016. Il cite son nom parmi "Les docteurs". Références indiquées (Dies academicus de l'Université de Genève 1984-1988; Biographie des thèses de doctorat suisses sur l'Afrique noire)..

Pour les chercheurs (ses) qui voudront aller plus loin en feuilletant les références données..., la réponse sera passionnante. La vérification des sources et l'éducation à l'information nous concernent, tous. Honnêteté intellectuelle oblige!

Philomène MILOLO

6 février 2017

La fille du couvent

Nguya a failli mourir sous trois coups de marteau de son mari le 22 juillet 1991 à 17 heures.

La fille du couvent (Editions Bénévent) de Philomène Milolo relate un cas concret du lien sida-violences conjugales. Comment prendre en charge un patient habité par l’obsession de la transmission du virus ? Question qui interpelle chacun de nous.

Cette vidéo a été frauduleusement effacée. Une suite lui est donnée pour ne pas éteindre la flamme du combat que je mène depuis 1990 contre celui que je nomme « un marchand du virus du sida » qui jouit de l’ignorance de ses partenaires à Strasbourg, Nancy, Berne, … (La fille du couvent pp 341 – 520).

Je rappelle à Augustin Odimba Omakoko Ango et à Godelieve Ehetsha (déjà citée dans le jugement du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg datant du 6 janvier 1995) qu’il leur faut plus, c'est-à-dire, des preuves contraires au diagnostic de l’Hôpital que d’œuvrer sous coulisses pour influencer mes enfants.

La fille du couvent est (bel et bien) face à deux cas de conscience. Elle se voit être doublement complice : complice d’une fraude, elle a dû rédiger intégralement une thèse pour permettre à son mari d’accéder au titre de docteur ; complice de mise en danger de la vie d’autrui, elle a également dû payer les sorties galantes de son mari qui, lui, se sachant porteur d’un virus mortel, n’a qu’une obsession : transmettre. Le Sida est devenu une arme de domination, un pouvoir. Comme un dictateur, avec un cynisme qui laisse sans voix, l’homme infecté se délecte de fondre, non protégé, sur une femme qui ignore que sa vie est en danger…Les calculs, le mensonge chronique sont-ils un cas pathologique ou une question d’éducation ? Nguya peut-elle, par amour, fermer les yeux ? Le fait de servir à son mari sa thèse sur un plateau est-il un tremplin pour imposer le déni et ses corollaires ? L’essentiel du témoignage livre les coulisses d’un tourment intérieur.

A toi, femme de France et d’ailleurs,

Bonne lecture !

Philomène MILOLO

Salut Philomène, je suis en train d'écrire sur la thématique "Violence conjugales et violences intrafamiliales" Je pense reprendre dans le livre ton intervention sur cette question. Si tu veux de mettre en contact. fais moi signe

D'accord de partager avec vous. Si vous habitez Strasbourg, c'est facile.

  • René Vogel j'habite à Québec. ce sera donc un peu moins facile

Effectivement, à moins d'un avion virtuel pour Québec pour un face-à-face, je répondrai par courriel à toutes vos questions sur le sujet..

20 février 2017

Vous cherchez Philomène MILOLO? Tapez "La fille du couvent". Monimambo, c'est mon ex-mari et Nguya, c'est moi. D'autres questions sont les bienvenues.

7 mars 2017

Philomène MILOLO

Appel du 8 mars 2017

Point d’orgue le mercredi 8 mars à partir de 18 h, salle de la Bourse, tous-tes debout pour fêter les

Pour mémoire, l’article du Journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace de mars 2011 faisait de La fille du couvent un livre emblématique du 8 mars et 25 novembre. Deux dates au cours de l’année pour nous appuyer tout spécialement sur son contenu. C’est ma petite pierre à l’édifice de la lutte pour les droits des femmes, mais également ma grande satisfaction, plus que la condamnation de Monimambo, qui n’a d’ailleurs jamais été mise en application. Car, sorti de prison sous contrôle judiciaire, il s’est volatilisé dans la nature avant son jugement (La fille du couvent pp ; 471 – 486). Ce 8 mars 2017 Philomène MILOLO vous renvoie à ces références (à recopier): https://youtu.be/EEdDX1WtY7s

Philomène MILOLO

Appel du 8 mars 2017

Point d’orgue le mercredi 8 mars à partir de 18 h, salle de la Bourse, tous-tes debout pour fêter les

Pour mémoire, l’article du Journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace de mars 2011 faisait de La fille du couvent un livre emblématique du 8 mars et 25 novembre. Deux dates au cours de l’année pour nous appuyer tout spécialement sur son contenu. C’est ma petite pierre à l’édifice de la lutte pour les droits des femmes, mais également ma grande satisfaction, plus que la condamnation de Monimambo, qui n’a d’ailleurs jamais été mise en application. Car, sorti de prison sous contrôle judiciaire, il s’est volatilisé dans la nature avant son jugement (La fille du couvent pp ; 471 – 486). Ce 8 mars 2017 Philomène MILOLO vous renvoie à ces références (à recopier): https://youtu.be/EEdDX1WtY7s

9 mars 2017

Hier soir, devant le Maire de Strasbourg, ma petite fille était la vedette. Bel apprentissage! Désolée pour la photo, envoyée à sa mère, je n'expose pas une mineure.

17 mars 2017

Sida: vers une nouvelle piste pour éliminer le virus

Par Cécile Thibert

Mis à jour le 16/03/2017 à 17:31 Publié le 16/03/2017 à 17:24

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Des chercheurs français ont réussi à détecter les cellules où se cache discrètement le virus latent.

Aucun médicament ne permet pour le moment d’éliminer totalement le VIH (le virus responsable du Sida) chez un malade. Car si les tri thérapies permettent de contrôler l’infection, elles n’entraînent pas l’extermination totale du virus. Celui-ci peut se cacher pendant plusieurs dizaines d’années dans des cellules de l’organisme, les cellules «réservoirs», échappant ainsi à la réponse immunitaire et aux traitements.

Jusqu’à maintenant, il n’existait aucun moyen de repérer ces cellules, hôtes silencieuses du virus. Pour la première fois, des chercheurs français ont identifié un marqueur qui permet de les reconnaître, et qui permettra, un jour peut-être, de les éradiquer. Leur découverte, fruit de cinq années de travail, a été dévoilée mercredi dans la prestigieuse revue Nature .

«Nous savions que ces cellules réservoirs existaient et qu’il y en avait une sur un million. Ce sont des cellules du système immunitaire, les lymphocytes T CD4. Par contre, nous étions incapables de les identifier, expliquent Benjamin Descours et Gaël Petitjean, coauteurs de l’étude et chercheurs au département de virologie moléculaire, dirigé par le Pr Monsef Benkirane, au CNRS de Montpellier. Désormais, nous connaissons un marqueur, et plus précisément une protéine exprimée à la surface de ces cellules dormantes infectées, la protéine CD32.»

La découverte du marqueur

Tout a commencé en 2011, lorsque des chercheurs de ce même laboratoire ont montré comment infecter par le VIH les lymphocytes T CD4. «Après avoir infecté des lymphocytes, nous avons regardé quels gènes s’exprimaient par rapport à un lymphocyte sain. Nous avons sélectionné le gène qui s’exprimait le plus, c’est comme cela que nous avons découvert le gène codant le marqueur CD32», racontent les chercheurs.

Pour confirmer leurs résultats, ils ont analysé le sang de 12 patients vivant avec le VIH et sous trithérapie. «Grâce à des anticorps, nous avons isolé les cellules du sang exprimant le marqueur», poursuit Benjamin Descours. Résultat? Un nombre infime de lymphocytes T CD4 (0,0012%) exprimait la fameuse protéine CD32. Et la quasi-totalité de ces cellules était effectivement infectée par le virus. Pas de doute: ces cellules étaient bien des cellules réservoirs. Les chercheurs estiment qu’un malade atteint du VIH doit avoir quelque 4000 cellules réservoirs parmi les 4 milliards de lymphocytes CD4 T qui circulent dans les 5 litres de sang.

Reste à savoir si ce marqueur permet de reconnaître toutes les cellules réservoirs du corps ou si d’autres existent et diffèrent selon les parties du corps. «Le sang contient 2% des lymphocytes de l’organisme et nous savons que la majorité des réservoirs se trouvent dans les tissus. Nos résultats sont une petite photographie d’une réalité mais nous ne savons pas s’ils sont représentatifs. Mais il nous est plus facile d’avoir accès au sang que de faire des biopsies de muscles ou d’organes», soulignent les chercheurs.

«À long terme, cette découverte devrait déboucher sur des stratégies thérapeutiques visant à éliminer le virus latent de l’organisme, affirme le Pr Benkirane. Mais la priorité est de comprendre comment fonctionnent ces réservoirs viraux».

» Sida: en quoi consiste le dépistage?

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31 mars 2017

Joyeux anniversaire ma chérie! Toi, ma fille aînée, mon bonheur d'être mère et ma fierté. Beaucoup de bisous et à ce soir.

À partir de l’adresse <https://www.facebook.com/unilever2512>

12 avril 2017

A mon fils chéri Pierre, beaucoup de lumière sur ta longue route riche et multiple...


25 avril 2017

Monimambo, lui, c'est tout l'opposé. Violences conjugales : « J’ai honte de ce que j’ai fait »

« Le Monde » a pu suivre neuf hommes condamnés pour violence envers leur conjointe, qui, dans le cadre de leur peine, doivent effectuer un stage de responsabilisation.

LE MONDE | 25.04.2017 à 06h42 • Mis à jour le 25.04.2017 à 14h37 | Par Gaëlle Dupont

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Groupe de parole d’auteurs de violences conjugales à la direction de l’administration pénitentiaire à Meaux (Seine-et-Marne), fin mars.

Groupe de parole d’auteurs de violences conjugales à la direction de l’administration pénitentiaire à Meaux (Seine-et-Marne), fin mars. PHILIPPE BRAULT POUR "LE MONDE"

Neuf hommes sont assis autour de tables collées les unes aux autres, comme pour une réunion de travail. C’en est une, mais d’un genre particulier. Nous sommes à Meaux, dans l’une des antennes du service pénitentiaire d’insertion et de probation de Seine-et-Marne.

Ces hommes qui ne se connaissaient pas la veille s’apprêtent à passer leur deuxième journée ensemble. Ils sont la face cachée des violences conjugales, celle dont on ne parle jamais : les auteurs. Tous ont été condamnés pour avoir frappé leur conjointe. Participer à un stage de responsabilisation de trois jours fait partie de leur peine. Le Monde a été autorisé à y assister, à condition de protéger l’anonymat des personnes présentes.

À partir de l’adresse <https://www.facebook.com/unilever2512>

27 juin 2017

PMA

Le Comité d'éthique favorable à l'ouverture de la PMA pour toutes les femmes

Par Agnès Leclair , Service infographie du Figaro Mis à jour le 27/06/2017 à 20:14 Publié le 26/06/2017 à 21:05

Le Comité d'éthique favorable à l'ouverture de la PMA pour toutes les femmes

INFOGRAPHIE - Le Comité consultatif national d'éthique a rendu ce matin un avis très attendu. Emmanuel Macron avait notamment déclaré qu'il attendrait ce rapport pour ouvrir le débat sur la PMA.

Annoncé depuis plus de quatre ans, l'avis du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) sur la PMA a été rendu public ce mardi. Au fil des années, cet avis consultatif a pris une importance très politique. En effet, alors qu'il était question de permettre à toutes les femmes d'avoir accès à la procréation médicalement assistée (PMA) au moment de la loi Mariage pour tous, il a été invoqué par François Hollande pour remettre le sujet à plus tard. Le président de l'instance, Jean-François Delfraissy, avait prévenu: cet avis «ne fera sûrement pas l'unanimité et va déclencher des anticorps de part et d'autre».

• PMA: le CCNE favorable à l'ouverture à toutes les femmes

Le constat

Selon les derniers chiffres de l'agence de biomédecine, 1346 enfants sont nés à la suite d'un don de gamètes en France en 2014, dont 1107 grâce à un don de spermatozoïdes. Les attentes des couples pour un don de gamètes sont longs, parfois de plusieurs années.

Depuis quelques années, des milliers de femmes célibataires et couples de femmes se rendent à l'étranger pour faire un bébé dans des pays où la PMA est autorisée indépendamment de l'état civil et de l'orientation sexuelle, principalement la Belgique et l'Espagne.

En 2014, dans la foulée de la loi sur le Mariage pour tous, la cour de Cassation a validé la possibilité d'adoption par la conjointe, au sein d'un couple de femmes, d'un enfant conçu par insémination artificielle à l'étranger. La Manif pour tous craint que son ouverture en France mène à l'avénement d'une «fabrication d'enfants» sans père. La communauté LGBT la réclame à l'inverse comme une mesure d'égalité.

L'avis du CCNE

Le comité d'éthique se dit favorable à l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires. Jusqu'ici, elle n'est autorisé que pour les couples hétéosexuels infertiles.

François Hollande avait indiqué pendant son mandat qu'il attendait cet avis pour légiférer sur l'ouverture de la PMA. Une attente qui a été interprétée comme une manière de reculer sur ce projet de réforme, devenu explosif après les fortes mobilisation de la Manif pour tous contre la loi Taubira.

Pendant la campagne, Emmanuel Macron a pour sa part indiqué qu'il était favorable à l'ouverture de la PMA à toutes les femmes. Mais il a lui aussi déclaré qu'il attendrait l'avis du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) sur ce sujet sensible «afin d'assurer dans la société un vrai débat, pacifié et argumenté». Le nouveau président du CCNE a par ailleurs annoncé que des états généraux de la bioéthique devraient être organisés en 2018 pour préparer la révision des lois de bioéthique qui concernent notamment le sujet de la PMA. Un calendrier qu'Emmanuel Macron pourrait invoquer pour éviter de s'emparer immédiatement de ce dossier épineux.

• GPA (gestation pour autrui): c'est non

Le constat

Prohibé en France depuis les premières lois de bioéthique de 1994, le recours aux mères porteuses avait déjà fait l'objet d'un avis du CCNE en 2010. Ce dernier s'était prononcé contre la légalisation de la GPA en France en raison du risque de marchandisation du corps humain et du non-respect de la femme porteuse. À l'inverse, en 2008, un rapport sénatorial préconisait de légaliser une GPA encadrée et «altruiste». Sous le mandat de François Hollande, le débat a avant tout porté sur la reconnaissance en France de la filiation des enfants nés par GPA à l'étranger.

L'avis du CCNE

Le comité d'éthique reste opposé à la gestation pour autrui (GPA) et donc au recours aux mères porteuses en France.

Pendant la campagne, Emmanuel Macron a déclaré qu'il n'était pas favorable à son autorisation «qui pose une question sur la dignité du corps de la femme». Mais il a promis d'oeuvrer pour la reconnaissance en France des enfants nés d'une GPA à l'étranger. Cette position a été critiquée par les anti-GPA qui craignent que cette reconnaissance des enfants entraîne des propositions pour instaurer une GPA «éthique» et l'autorisation en France de ce mode de procréation. La Manif pour tous estime enfin que l'ouverture de la PMA aux couples de femmes, réponse à une infertilité «sociétale», entraîne par «effet dominos» la légalisation de la GPA au nom d'un «droit à l'enfant».

• Autoconservation d'ovocytes: le CCNE ne suit pas l'avis de l'Académie de médecine

Le constat

L'Académie de médecine s'est prononcée la semaine dernière en faveur de cette nouvelle «révolution» de la maternité afin de permettre aux femmes de procréer plus tard. En 2015, un décret avait laissé entrevoir une évolution en autorisant les femmes sans enfants à faire don de leurs ovocytes et à en conserver une partie pour elles-mêmes. Une brèche dénoncée par nombre de médecins et de spécialistes de l'éthique comme un «chantage». De plus, le nombre d'ovocytes prélevés n'est généralement pas suffisant pour permettre une autoconservation pour les donneuses.

Dans un manifeste paru dans Le Monde en 2016, 130 médecins et biologistes ont plaidé l'autorisation de l'autoconservation d'ovocytes pour «convenance personnelle» à l'heure où les femmes deviennent mère de plus en plus tard. Ils avaient aussi plaidé pour l'ouverture de la PMA à toutes les femmes et à la levée de certaines restrictions sur le diagnostic pré-implantatoire (DPI) qui permet de détecter des anomalies génétiques de l'embryon.

L'avis du CCNE

Le CCNE s'est déclaré contre «la proposition d'autoconservation ovocytaire à toutes les femmes jeunes qui le demandent, en vue d'une hypothétique utilisation ultérieure». Ce n'est pas «une ‘solution magique' pour faire face au décalage de l'âge de la grossesse et ça ne garantit pas une maternité», précise le texte.

Le sujet avait fait polémique en 2014 quand Apple et Facebook avaient annoncé qu'ils proposaient de financer la conservation des ovocytes des femmes désireuses de faire carrière chez eux. Moins médiatisé que les sujets de la PMA et de la GPA, il n'est pas entré dans le débat politique.

20 JUILLET 2017

Info pour Monimambo à trois jours de l'anniversaire des coups de marteau: Sida : le nombre de morts liés au virus baisse de moitié en 10 ans

En 2016, 1,8 million de nouvelles infections par le VIH ont encore eu lieu dans le monde.

Mobilisation lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida (illustration)

Mobilisation lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida (illustration) Crédit : FLORIAN SCHUH / DPA / AFP

Émilie Jéhanno

et AFP

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publié le 20/07/2017 à 11:33

C’est "un tournant décisif qui a été franchi" pour l’ONU. Un million de personnes sont décédées de maladies liées au sida en 2016, soit presque moitié moins que lors du pic de décès atteint en 2005, où 1,9 million de personnes étaient décédées, selon un rapport de l'Onusida publié jeudi 19 juillet.

Plus de la moitié des malades dans le monde sont désormais sous traitement et le nombre de nouvelles contaminations par le VIH continue de décliner. Mais, regrette l’Onusida, ce rythme est encore trop lent. En 2016, 19,5 millions de personnes, sur les 36,7 millions qui vivent avec le VIH avaient accès aux traitements, soit plus de 53%.

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"Notre lutte pour mettre fin au sida ne fait que commencer. Nous vivons des temps fragiles et les progrès accomplis peuvent être facilement effacés", avertit cependant Michel Sidibé, directeur exécutif de l'Onusida.

1,8 million de nouvelles infections par le VIH ont encore eu lieu en 2016, soit une contamination toutes les 17 secondes en moyenne. Ce chiffre est en baisse régulière, très loin du maximum de 3,5 millions de nouvelles contaminations atteint en 1997. L’Onusida vise un objectif de 550.000 nouvelles contaminations en 2020.

Il n'existe pas encore de vaccin contre le VIH ou de médicament guérissant du sida. Les personnes séropositives doivent suivre un traitement par anti-rétroviraux tout au long de leur vie, pour empêcher le développement du virus.

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20 Juillet 2017


22 juillet 2017

LETTRE OUVERTE A AUGUSTIN ODIMBA OMAKOKO (Ango)

22 juillet 1991 - 22 juillet 2017: coups de marteau, 26ème anniversaire

Ce jour-là, tu me demandas de l'argent pour une visite à Nancy. Je savais que Lucie O. y résidait et qu'elle était enceinte de toi. D'où ma colère: "cette femme doit savoir que tu es porteur du virus du sida pour prendre ses dispositions, Si tu ne lui dis pas, je prendrai ma responsabilité", ai-je insisté. La suite, tu la connais: trois coups de marteau.

En 2017 tu excelles toujours dans les dénégations, ton obsession de manipulateur étant de continuer à installer un climat de confusion sur les thèmes principaux de mon livre: la thèse de doctorat, le sida, les coups de marteau ou la violence conjugale. Le but de mon témoignage est avant tout préventif. Je continuerai de sensibiliser, que cela plaise ou non à mon bourreau.

Concernant la thèse, en 2012, j'ai demandé à mes deux amis professeurs des universités leur point de vue après la lecture de mes "dissertations". Ils étaient unanimes: les deux textes sont écrits par la même personne. Sans entrer dans les détails, on peut le remarquer tout de suite en lisant les introductions, les conclusions et les bibliographies. Je parie que tu n'as même pas réalisé, par exemple, que 95% de notes bibliographiques de ma thèse sont reprises dans "ta thèse". Dans la mesure où je n'ai pas lu grand chose de plus pour composer le chapitre demandé par le directeur de thèse en France. Si je ne suis pas allée plus loin dans ma revendication, c'est tout simplement parce qu'ils ont attiré mon attention sur ce que je risquais...

Mentir à ton interlocutrice que tu n'es pas séropositif et qu'il n'y a jamais eu de marteau est une insulte à son intégrité mentale. Car, sans parler de moi, c'est surtout son cas qui nécessitait une prise en charge rapide dès notre arrivée au Foyer Regain. Au lieu de l'utiliser comme un pion sur lequel t'appuyer pour te valoriser, tu devrais refaire le parcours de son traumatisme en interrogeant tous ceux qui sont intervenus pour mettre fin à ses jours et nuits hantés par ce qu'elle a vu et entendu, les termes sida, marteau ou couteau. Sa directrice d'école, les assistantes sociales (entre autres Cynthia et Sylvie), le psychologue place Broglie. A son âge, elle aurait ainsi menti sur tout ce qui sortait de sa bouche? Tu devrais plutôt lui présenter tes excuses pour les années de thérapie, pour avoir voulu vider son compte bancaire, avoir menti à la préfecture pour qu'elle soit chassée du territoire français, pour avoir envoyé une lettre et de faux documents à la Mairie de Strasbourg pour renier la paternité des filles (le responsable avait noté en passant que tu avais écrit parque de l'Etoile au lieu de parc).

Il ne faut pas faire croire que tu n'as pas été condamné pour les coups de marteau. Je n'ai porté plainte qu'après mon départ du foyer conjugal, c'est ce qui est conseillé à toutes les femmes victimes de violence. Tu as fait trois mois de prison. Après ta sortie sous contrôle judiciaire, tu en as profité pour te volatiliser dans la nature. Tu étais absent lors de ton jugement et tu as encore quelques mois de prison à faire et des dommages et intérêts à payer. Personne ne pouvait imaginer que tu te cachais dans un village de Suisse alémanique avant de t'installer à Berne 20 ans plus tard. Je peux réactiver la procédure maintenant que nous savons où tu es. Mais comme tu n'as jamais rien payé dans ta vie...Même tes enfants du sida ne sont pas à ta charge, alors les démarches n'auront aucun intérêt.

Il n'y a aucune comparaison entre Lucie O. que tu qualifies aujourd'hui de "pleurnicheuse" parce que tu n'as pas voulu l'épouser, Alice L. à qui tu prêtes le titre de "docteur ès Biologie", les deux mères de tes enfants du sida et moi. Si la dernière était réellement universitaire, elle aurait déjà remarqué ta "paranoïa aiguë", selon l'expert psychiatre du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg et, surtout les traces corporelles dues à la Trithérapie. Elle devrait également se demander pourquoi tu refuses systématiquement de faire le test. Les études d'ONUSIDA ont démontré récemment qu'après des années de Trithérapie le virus devient indétectable dans le sang et le risque de transmission aux autres reste faible. Soit, au lieu de nier, tu devrais être sincère, parce que tes dénégations ne valent rien face à toute une institution, les Hôpitaux universitaires de Strasbourg, l'Hôpital de Hautepierre en particulier, qui découvrit le virus du sida dans ton sang lors de ton hospitalisation en décembre 1989; face au professeur Jean-Marie LANG (Médicale A) qui te prit en charge pour la Trithérapie - dès 1990 jusqu'à ta fuite - et ordonna un test pour moi en tant qu'épouse; face au docteur Marie-Antoinette DOERFLINGER, rue des pompiers qui nous apprit comment équilibrer le double traitement sida-diabète. Ces deux médecins sont devenus par ailleurs mes amis tellement j'avais besoin de leur soutien pour comprendre ton comportement vis-à-vis des femmes et de l'alcool malgré ton état de santé.

Pour toi, l'Hôpital de Hautepierre, les deux médecins et moi sommes des menteurs? Tu devrais plutôt me remercier de t'avoir encouragé à commencer la Trithérapie le plus rapidement possible comme nous le conseilla le professeur Jean-Marie LANG alors que tu avais l'appréhension d'être pris pour un cobaye.

Un homme qui agit par ruse avec les femmes comme toi est une personne toxique, sans humanité ni loyauté et, donc, sans honneur. C'est un virus qui porte un autre, celui du sida. Comme lui tu travailles insidieusement, dans l'ombre, pour laisser ton monde dans le brouillard et refuse toute confrontation devant les tribunaux d'où peut jaillir la lumière.

Enfin si tu ne peux t'empêcher de fabriquer de fausses informations pour compenser ton manque d'amour-propre, de grâce respecte mes origines. Elles sont précieuses pour ma descendance.

Parole de victime qui ne fait que renvoyer la balle à son bourreau.

Philomène Milolo


6août 2017

La publication ci-dessous vient d'être proposée à mon attention par un chercheur de Louvain-la-Neuve et je ne peux m'empêcher de la partager pour ensuite dire ce que j'en pense.

Projet 2014

Un projet de société pour la RDC, vers une Union d'États Indépendants du Congo

Badibanga : Odimba signe…

Publié le 22 décembre 2016 par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Le Professeur Augustin Odimba aurait signé : Son Excellence Samy Badibanga ne serait pas diplômé d’un quelconque institut supérieur des sciences humaines de Genève. Selon le Prof. Odimba, un tel institut n’existerait même pas au terme de ses recherches. Qui alors mentirait aux Congolais, sciemment ou inconsciemment ? Notre premier ministre est-il donc un autre imposteur ? Comment devons-nous l’appeler exactement ? Est-il le naturalisé belge Sambady Badibanga Ntita, né à Kinshasa (Congo) le 12 septembre 1962 ou quelqu’un d’autre ? Quoi qu’il en soit, la manière dont son gouvernement prolonge les tueries, n’en dit-elle pas long sur l’incongruité de sa présence à la primature ? Nous vous passons qui nous parvient d’un contact Skype sur le premier ministre déjà assassin…

À propos de la biographie de Samy Badibanga.

Mes chers compatriotes,

Je me permets de corriger une fausse information concernant la biographie de notre nouveau Premier ministre Sammy Badibanga: il affirme malhonnêtement qu’il avait étudié à l’institut supérieur des sciences humaines de Genève ( 1986) ; l’institut dont il est question n’existe nulle part à Genève et dans toute la Suisse.

De 1980 – 1989, dans le canton de Genève, voici la liste des instituts supérieurs:

1. Institut universitaire de hautes études internationales.

Les anciens diplômes congolais de cet institut sont:

– Bulaluete Mbwembo, prof. à l’unikin.

– Mutombo Kanyana, consultant à Genève.

– Menga Roger Julien, ambassadeur du Congo- Brazzaville

– Mavungu ne nzita, ancien ambassadeur du Congo RDC, auprès de l’U.E.

2. Institut universitaire d’études du développement.

Les diplômés congolais:

– Ntumba Bakajika ( certificat ),

– Kilola Gayombo-Mvaka ( diplômé ),

– Lukombo Nzatuzola joao Baptista ( diplômé ),

– Mabuya Ndumba ( diplômé ),

Tshingeji Mulopo ( diplômé ),

– Kazadi Ngoi tshikala ( diplômé ),

– Mabuya Ndumbu ( certificat ),

– Owandjalo Welo Okitawato ( diplômé ), prof. Unikin.

3. Institut universitaire d’études européennes.

– Nzita Na Nzita ( certificat ),

– Kabeya Lutonga Philippe ( diplômé ),

– Odimba Omakoko Augustin ( diplômé ),

– Durao Barroso José Manuel ( diplômé ),futur président de la Commission européenne.

Mes chers compatriotes,

Monsieur Sammy Badibanga doit présenter au peuple congolais une biographie crédible.

Mes sources sont: les Dies Academicus de l’Université de Genève de : 1984, 1985,1986, 1987, 1988.

Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose..!

Prof. Augustin Odimba

6 août 2017

Dans "Projet 2014" Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu reprend les propos d'Augustin Odimba, publiés dans "MBOKAMOSIKA", dénonçant l'imposture de la bibliographie du premier ministre congolais. Augustin Odimba termine par "Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose..."

Voilà une fin qui attise mon interrogation! Augustin Odimba contre Samy Badibanga? C'est l'hôpital qui se moque de la charité. Augustin Odimba devrait appliquer le "balaie devant ta porte avant d'aller balayer devant celle du voisin".

Je peux me demander, à juste titre,

- si un homme possédant des diplômes non mérités, car ni "sa thèse", ni "son mémoire" de l'Institut universitaire d'études européennes n'ont été conçus et rédigés par lui-même;

- si un homme se proclamant professeur et chercheur indépendant à Berne tout en sachant que ces appellations associées à son nom se résument à des coquilles vides et non à des activités réelles;

- si un homme qui se sait porteur du virus du sida depuis décembre 1989 et qui a fait ensuite des enfants à deux femmes, leur cachant sciemment son état de santé;

- si un homme obsédé par la fabrication des faux pour tourner en dérision et décrédibiliser la parole de celle qui détient la vérité;

- si, en définitive, un gourou de la manipulation est vraiment la personne habilitée, c'est-à-dire, la mieux placée pour s'ériger en modèle de vertu et dénoncer l’imposture intellectuelle et le manque de crédibilité du premier ministre congolais?

Je saisis cette occasion pour renvoyer Augustin Odimba à quelques références qui peuvent démonter son argument de défense indigène. Il suffit de taper dans Google "procès sur le sida" pour savoir qu'un séropositif malhonnête peut tromper cinq partenaires et ne contaminer soit qu'un seul, soit, tous les cinq, soit encore aucun. Mais les séropositifs honnêtes et dignes (qui s'investissent même dans la prévention) sont conscients que la vie des autres ne peut pas être une loterie. D'ailleurs, dans les années 90, je n'étais pas l'unique "épouse du patient" dans le Service du professeur Jean-Marie Lang à être séronégative. Et le professeur estimait même que le cas des partenaires non contaminés était intéressant pour une étude scientifique.

Ainsi, par respect pour toutes ces femmes sciemment mises en danger à leur insu le terme "crédibilité" et l'expression "imposture intellectuelle" devraient être éradiqués de ton vocabulaire.

Philomène Milolo

7 août 2017

Augustin Odimba - Samy Badibanga

"Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose...", dit-il au premier ministre congolais. C'est l'hôpital qui se moque de la charité. Dans la mesure où Augustin Odimba ment aux femmes qu'il n'est pas porteur du virus du sida, alors qu'il le sait des sources médicales depuis décembre 1989, il devrait d'abord balayer devant sa porte avant d'aller balayer devant celle du premier ministre.

13 août 2017

Act Up, la fureur de vivre

Actions coup de poing, slogans provocateurs, humour ravageur… Fondée en 1989, l’association se démarque par son positionnement radical.

M le magazine du Monde | 11.08.2017 à 06h36 • Mis à jour le 13.08.2017 à 15h06 | Par Vanessa Schneider

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Le cortège d’Act Up lors de la Gay Pride de 1993.

Une foule dense prend silencieusement possession de la vaste terrasse. Entre sept et huit cents personnes se meuvent comme sonnées entre les tables éclairées de lampions. Certaines ont les yeux rougis, d’autres sont incapables de parler. Quelques instants auparavant, tous étaient assis dans les trois salles d’un cinéma des Lilas, près de Paris, pour assister à l’avant-première du film 120 battements par minute, qui sort en salle le 23 août.

Parmi les centaines d’invités, des mines et des visages particulièrement bouleversés. Grand Prix au dernier Festival de Cannes, le film de Robin Campillo raconte une partie de l’histoire d’Act Up. Leur histoire. Militants des années 1990, ils viennent de découvrir un pan de leur vie posé sur pellicule. Des souvenirs douloureux et joyeux, une aventure intense qui a envahi leur biographie. Il y a là de nombreux anciens, Robin Campillo bien sûr, Philippe Mangeot, qui a participé à l’écriture du scénario, Hugues Charbonneau, l’un des producteurs, mais aussi Didier Lestrade, fondateur d’Act Up, ou la critique d’art Élisabeth Lebovici.

Après quelques minutes, quelques verres de vin ou quelques pintes de bière, alors que d’immenses enceintes crachent de la musique à haut volume, on se remet à parler. On se retrouve aussi. Certains ne se sont pas vus depuis des années. Il y eut à Act Up tellement de cris, de déchirements, de portes claquées.

Il y a les présents, qui se cherchent du regard parmi les dizaines d’inconnus qui n’ont pas partagé leur combat. Il y a l’ombre des absents aussi, les disparus, les trop nombreux fantômes. Et puis ceux qui n’ont pas été conviés à la fête, comme l’ancienne ministre Emmanuelle – douze ans de militantisme dont deux de présidence, pourtant – à qui les « orthodoxes » n’ont pas encore pardonné d’avoir été ministre de Manuel Valls, ou comme Pascal Loubet, cofondateur de l’association, désormais fâché avec Lestrade.

Empêcheurs de tourner en rond

La mémoire collective...



Augustin ODIMBA

Augustin ODIMBA Omakoko et le TasP

"Le TasP - treatment as prevention - signifie que les personnes séropositives (qui vivent avec le VIH), lorsqu'elles prennent correctement leur traitement et que leur charge virale est dite "indétectable" depuis plus de six mois, ne peuvent plus transmettre le virus à leur(s) partenaire(s) séronégatif-ve(s)".

Or la fille de la femme de Nancy est née en 1992 et le garçon de la femme de Berne en 1997 alors qu'Augustin ODIMBA, lui, avait commencé la Trithérapie en 1991. Faites le calcul! Ne rien dire à l'autre est une question d'éthique. Et si tous les séropositifs agissaient ainsi...

Une charge virale "indétectable" n’aboutit cependant pas au néant lors d'un test. Celui-ci révèle toujours la séropositivité. Voilà pourquoi Augustin ODIMBA refuse catégoriquement (et systématiquement) de faire le test lorsqu'on le lui demande. A moins que ça ne soit sous la pression de la justice.

N'hésitez pas à visiter le local AIDES le plus proche de chez vous si vous avez des questions.

19 août 2017

Augustin ODIMBA

Augustin ODIMBA Omakoko et le délai de prescription pénale de ses infractions

En fuite, il s'est caché pendant plus de 10 ans et réapparaît parce qu’il sait que le délai de prescription pour ses différents délits s'est écoulé. Regrettable qu'un fugitif s’exonère de sa dette.

Mais le plus instructif et glaçant, c'est ce que je viens d'appendre aujourd'hui: après mon départ du domicile conjugal, il a menacé de tuer les voisins. Ce qui a nécessité l’intervention du GIGN un jour à 6 h du matin.

Dites-moi: est-il devenu fou parce que je suis partie ou parce qu'il craignait que je révèle son état de santé?



Robin Campillo : « Il m’a fallu du temps pour parler du sida »

Le réalisateur de « 120 battements par minute », ancien d’Act Up, dit comment le VIH a changé son rapport au cinéma.

LE MONDE | 22.08.2017 à 07h53 • Mis à jour le 22.08.2017 à 15h56 | Propos recueillis par Isabelle Regnier

Félix Maritaud joue le rôle de Max, un militant d’Act Up-Paris, dans « 120 battements par minute », de Robin Campillo.

Célébration du combat d’Act Up-Paris, l’association de lutte contre le sida qui défraya la chronique en France dans les années 1990, 120 battements par minute arrive sur les écrans auréolé de la ferveur qu’il a suscitée à Cannes et de l’aura du Grand Prix qu’il y a remporté. Pour Robin Campillo, militant dans l’association au cours des années 1990, c’est plus ou moins consciemment le projet d’une vie. Le cinéaste a vu son rapport au cinéma bouleversé par l’irruption du sida, et n’a signé son premier film, Les Revenants, qu’à l’âge de 42 ans, en 2004 (il est par ailleurs scénariste, notamment pour Laurent Cantet, avec qui il a coécrit L’Emploi du temps, Entre les murs ou encore L’Atelier, en salle le 11 octobre). En 2014, dans l’électrisant Eastern Boys, il affirmait un rapport au corps et un point de vue politique frontal qui allaient infuser 120 battements par minute.

Comment êtes-vous arrivé à Act Up ?

C’était en 1992, après dix ans d’épidémie. J’arrive assez furieux d’avoir pris conscience qu’on avait désigné très fort les gays par ce terme stigmatisant de « groupe à risque ». La société nous définissait comme des victimes potentielles de l’épidémie sans nous donner aucune visibilité.

Pendant la décennie précédente, comment avez-vous vécu l’épidémie ?

J’avais 20 ans en 1982. J’ai tout de suite senti que quelque chose de très, très grave allait se passer. J’étais en province, j’avais des petits copains, mais je n’étais pas tellement dans le milieu gay. C’était le moment où paraissaient les premiers articles de Libération sur le kaposi [les lésions ­cutanées provoquées par le VIH], les abominables photos de ce couple gay malade dans Paris Match… Les textes étaient délirants. On ne savait rien sur les modes de transmission, l’inquiétude était très forte. J’avais le sentiment qu’on nous annonçait...

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23 septembre 2017



Un Monimambo - qui ment et dissimule son virus - dans la nature est un danger pour les femmes. Malheureusement certaines y laissent des plumes.



28 octobre 2017


30 octobre 2017




1 novembre 2017


1 novembre 2017







3 novembre 2017



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5 nov 2017


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10 nov. 2017;

Le 12 novembre 1993 le prof. Minari fait partie du jury. Il a été invité par Strasbourg sur demande de Monimambo, une astuce trouvée dès le départ pour amortir l'humiliation de Genève. Mais ce prof.ne représente que lui-même et non l'Université genevoise.



14 nov. 2017;



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15 novembre 2017


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25 novembre 2017


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25 nov. 2017;


25 nov. 2017;


28 nov. 2017;

Vendredi 1er décembre, c'est la Journée mondiale de lutte contre le sida. Selon l'obs, chaque année 6000 nouveaux cas de séropositivité découverts en France. Une pensée pour Monimambo. Malgré le déni, ça ne doit pas être simple quotidiennement: la trithérapie qui réduit la charge virale est un traitement lourd.


14 janv. 2018;

A mes ami(e)s, toute ma gratitude pour vos vœux le jour de mon anniversaire. Je m'adresse également à celles et ceux qui ont manifesté leur fierté après la publication de différents documents. C'est vrai que c'est une histoire sans fin, mon ex. - avec ses multiples arguments volatiles, inventés a posteriori et n'existant dans aucun plaidoyer de son avocat - étant un homme opportuniste et tactique. Mais sa violence n'a pas acheté mon silence, sa traque secrète ne me fait pas peur non plus. Je reste encore un électron libre en 2018. A bientôt la démonstration sur mon œuvre "L'enseignement de l'histoire en République démocratique du Congo - Diagnostic (1960-1980)".



30 janv.2018;

Alexia...Encore une victime des violences faites aux femmes. Encore un drame bouleversant qui nourrit la continuité du message de mon livre. "Un accident", dit le mari. Il n'y a que la justice pour arriver à bout de la contre-vérité. Pour les coups de marteau que j'ai reçus le 22 juillet 1991, Augustin Odimba Omakoko se lance toujours dans un fourre-tout d'explications selon le visage en face de lui. Lorsqu'il vient nous rejoindre, les enfants et moi, à la fin de l'année 1992 au Zaïre, espérant que ma famille réussirait à nous réconcilier, il nie la violence malgré l'évidence et prend à témoin le Directeur de l’œuvre St.Justin qui, lui, était à Fribourg alors que les coups ont eu lieu à Strasbourg et n'avaient comme cause que mon affirmation à vouloir protéger la vie de la femme de Nancy alors enceinte contre le sida. Je suis partie du domicile conjugal le 13 décembre 1991 et sa petite fille est née au début de l'année 1992, sans que la pauvre femme ne sache qu'elle et son bébé courraient un danger.


3 févr.2018;

L'Enseignement de l'histoire... est une réadaptation de l'Enseignement du Français...Plusieurs titres des chapitres viennent de l'une ou l'autre de mes œuvres.



4 févr. 2018;

5 ans pour écrire 50 pages d’un mémoire d’équivalence des diplômes moyen, 13 ans pour obtenir difficilement un doctorat que j’ai brillamment réussi en 3 ans. Il n’y a pas photo. Alors que j’étais déjà Docteur ès Lettres, il me présentait toujours à ses professeurs comme étant Licenciée (équivalent d’une maîtrise) en Français-Linguistique pour couvrir le fait d’être l’auteure de « ses travaux ». Augustin ODIMBA Omakoko n’a jamais rédigé cette thèse soutenue à l’Université des Sciences humaines de Strasbourg et publiée chez Peter Lang en 1999. De bout en bout, l’Enseignement de l’histoire au cycle d’orientation de l’école secondaire du Zaïre : diagnostic (1960-1980) est entièrement l’œuvre de Philomène MILOLO. Sa soutenance, déjà prête pour l’année 1998 à Genève, n’aura finalement lieu qu’en 1993 à Strasbourg. L’organisation de l’argumentation l’est dans la même optique que celle de l’Enseignement du Français par thématique, guide de documentation pédagogique pour le niveau terminal de l’enseignement secondaire, mémoire de 530 pages soutenu à deux pour une Licence en 1980. C’est dire aisément que leurs données sur le terrain sont interchangeables. La construction considère les deux titres comme deux entités d’un même sujet, l’enseignement. Qu’il soit traité sous l’axe « langues et littérature » ou l’angle « histoire », la colonne vertébrale reste le regard critique sur les programmes coloniaux et les perspectives d’avenir. Ces deux thèmes ont également un autre point en commun : leur traitement n’a pas été choisi, il m’a été imposé.

Comme je le souligne dans La fille du couvent, les travaux qui composent le mémoire de 1980 nous ont été recommandés par la professeure Françoise Spurling. Une obligation pour signer progressivement le rejet de l’enseignement qui trouvait, jusque-là, son ancrage dans la colonisation. Il était temps qu’une jeune génération émerge pour prendre la relève. Françoise voyait en Kambale et moi, -« mes deux meilleurs étudiants », disait-elle- l’avenir de la nouvelle méthodologie de l’enseignement du Français en RDC. La maîtrise de la langue française et la connaissance du monde seront au centre de tous les apprentissages, sans oublier la découverte de la société africaine dans ce qu’elle peut apporter comme messages les plus riches et diversifiés, ceux de la culture. Le manque de support ou de documentation étant un frein, il fallait surtout aiguiser notre regard critique sur l’enseignement colonial et produire un livre regroupant plusieurs thèmes, véritables références et outils indispensables à une scolarisation réussie. Ce document, appelé « mémoire du siècle » ou « méthode Kamilo » étant achevé, nous sommes nommés assistants à l’Université par Arrêté ministériel de 1981 et le suivi des stagiaires nous est immédiatement confié pour les aider à compléter leur formation universitaire par une expérience professionnelle significative et valoriser leurs compétences.

Le fait d’avoir travaillé sur le sujet de 1980 à Kinshasa fut un atout considérable, il était une source d’inspiration pour avancer rapidement dans le traitement de celui de 1993- L’enseignement de l’histoire au cycle d’orientation de l’école secondaire du Zaïre : diagnostic (1960-1980). Après le mariage, Monimambo me mettait ainsi devant un fait accompli. C’est là que je découvre le vrai Augustin ODIMBA. Il faisait partie de ces étudiants étrangers « perdus de vue ». Effectivement arrivé en Suisse deux ans avant moi en 1980, son mémoire d’équivalence des diplômes qui, en réalité, ne prend que quelques mois, durera 5 ans sanctionné par une note qui ne lui permettra pas d’entamer directement la rédaction de la thèse. Pire encore, en 1984 il avait déjà reçu un avertissement de la police des étrangers lui annonçant que son titre de séjour étudiant ne sera pas prolongé en 1985. De la parole à l’acte, une interdiction de territoire genevois lui est signifiée en octobre 1985. Etant Persona non grata à Genève, il fallait user de ma notoriété à Fribourg pour obtenir la permission d’y rester malgré la fin de mes études. Présidente de l’association des étudiants-es, j’étais connue des autorités politiques, académiques, religieuses, diplomatiques, des journalistes, respectée dans ma ville d’art et d’étude. La suite est racontée dans mon autobiographie : prise en charge administrative, matérielle, intellectuelle de Monimambo, émaillée des moments de surprises désagréables. De faux doctorant à la découverte du virus VIH dans son sang, du vol de près de 5000 frs suisses à ses multiples dettes à Genève et Strasbourg…, tellement des mensonges nous ont étouffés et empêchés d’avancer sereinement dans la vie. Les coups de marteau seront la goutte d’eau qui fera déborder le vase. Il avait beau faire venir les Mustapha, africains proches de notre logement ou l’ex-compagnon de Godelieve EHETSHA, qui habitait seul, pour nous réconcilier, j’ai quand même tourné le dos à ce couple qui n’en était plus un.

« Lorsqu’un étudiant n’a pas construit lui-même le plan de sa thèse, quand il n’est pas autonome dans sa rédaction, il court le risque de s’embrouiller devant un jury », lui répétais-je après avoir pris la parole à sa place pour répondre aux remarques ou questions des professeurs Ladislas Mysyrowicz ou Pierre Erny pendant les corrections. Il avait le devoir de se familiariser avec le texte à la fin de ma production : c’est-à-dire, s’investir, lire et relire, se sacrifier un peu plus. Un tel sacrifice ne pouvait se concilier avec l’errance et l’excès de loisirs. Malgré plusieurs lectures, un résumé de la soutenance préparé par l’auteure, beaucoup de mises en scène du jury, il aura du mal à tenir le fil des idées pendant mon absence. Alors il recourra très vite à ce qu’il sait faire le mieux pendant la soutenance : la stratégie du mensonge qui a toujours été au cœur de ses actes. L’honnêteté n’est pas son dada, il sait que personne n’ira vérifier ses dires, il racontera n’importe quoi. En tous les cas ce qui est dit oralement devant le jury (dans le préambule et au cours de la soutenance elle-même) n’est qu’un tissus de salades. Ses réponses sur le bilinguisme scolaire et sur l’authenticité, pour ne citer que ces deux exemples, sont contradictoires aux pages écrites. J’ai eu l’occasion de visionner avec beaucoup de sidération la cassette de la soutenance qu’il m’avait fait parvenir, je n’ai d’ailleurs pas compris le pourquoi de cet envoi. J’ai regretté mes heures, plusieurs heures, passées à transcrire le document audio reçu en cadeau des mains de l’auteur du Discours sur l’authenticité lui-même.

Le professeur Pierre Erny parle des faiblesses volontaires dont souffre le texte lors de la soutenance. Je dirais, moi, que la thèse est victime de l’ignorance de M. Odimba. Ne possédant pas sa matière, l’étudiant s’est installé également dans une confusion lors de la dactylographie du chapitre sur l’analyse des manuels. Prenons, à titre d’exemple, la démarche à suivre pour l’étude de chaque thème (troisième partie, chapitre I), qui est en quelque sorte le condensé de l’Enseignement du Français par thématique… Elle est clairement énoncée à la page 226. Son application est, en revanche, déficiente. Non seulement la table des matières ne correspond pas aux sept points énumérés à la page citée – pour le thème A les points 3 à 7 sont considérés comme des sous-titres du point 2 -, mais le point 5 travail pratique est absent du traitement de deux thèmes. La page 5 du texte se termine en queue de poisson, avec une phrase amputée de ses quatre mots (Ils ont tout d’une dépersonnalisation de l’indigène). Même un élève de CE2 aurait pu réaliser qu’une phrase commençait par une majuscule et se terminait par un point. Des lacunes soulignées avec indulgence par le Directeur de thèse, qui était bien sûr au courant des ennuis de santé de l’étudiant. Dans cette cassette, je le trouve courageux, mais il est comme dans un état second, dû au fait qu’il buvait énormément qu’à sa maladie.

Après lecture de tous les travaux que je leur ai confiés, la conclusion de deux universitaires volontaires qui ont accepté d’évaluer l’influence de mes travaux précédents et même postérieurs (comme Senghor ou la diversité de l’unité du monde, publié dans Les lettres romanes ) sur l’Enseignement de l’histoire… est sans appel : l’abondance de reprises partielles ou intégrales ouvre deux options : soit il s’agit partout des réminiscences du même auteur, on le comprendrait ; soit il s’agit tout simplement de plagiat. Car aucun de mes travaux n’est cité dans la thèse dite de Monsieur Augustin Odimba. Celle-ci n’a donc pas lieu d’être. En plus de références reproduites (je vous jure que ce n’était fait exprès, c’était inconscient), les jeunes chercheurs qui voudront se pencher sur la question trouveront d’autres détails (leur ton, forme, fond…,) pour expliquer pourquoi l’Enseignement de l’histoire au cycle d’orientation … n’est pas l’œuvre de Monsieur Augustin Odimba. S’ils peuvent trouver la réponse en comparant mes travaux, ils ne pourront par contre pas faire les mêmes recherches concernant Monsieur Odimba, n’ayant repéré aucune étude digne d’un universitaire à l’actif de celui qui se nomme lui-même « chercheur indépendant » alors qu’il n’est pas reconnu pour ses publications. En fait son diplôme n’est pas son gagne-pain. « Votre ex. n’est rien, il n’intéresse personne, alors protégez-vous au lieu de vous exposer avec cette affaire. Vous êtes non seulement écrivaine ou universitaire, vous êtes également fonctionnaire…, pensez à votre réputation », conseille un ami professeur.

Plusieurs extraits en infra-pages ou dans le corps de l’Enseignement de l’histoire au cycle d’orientation,…viennent de l’Enseignement du Français par thématique…On les retrouve également dans mes autres œuvres comme Le déchirement dans l’Aventure ambiguë de Cheickh Hamidou Kane…, l’Image de la femme chez les romancières de l’Afrique noire francophone,…, Senghor ou la diversité de l’unité du monde,… Voilà pourquoi à Genève comme à Strasbourg, les professeurs estimaient qu’il y avait dans le texte plus de littérature et pas assez d’histoire. Il fallait finalement lui trouvait un point de chute non dans l’histoire générale, mais dans les Sciences de l’éducation. A plusieurs reprises en écrivant j’ai dû parler comme si je faisais partie des Atetela pour être crédible (ex. page 9, 65 note infra 154). A la page 211, la note infra 376 fait référence à son mémoire de l’ l’Institut d’études européennes de Genève que j’ai réécrit en me servant d’un petit livre sur l’économie rwandaise. Les enquêtes de terrain évoquées page 11 et les tableaux viennent des données réalisées pour les besoins de l’Enseignement du Français… archivées et rangées dans les cartons de l’évêché, ce lieu-même à Matongue qui abritait au rez-de- chaussée le personnel qui s’occupait des programmes scolaires de l’enseignement primaire et secondaire. J’ai tout ramené de retour de Kinshasa en décembre 1986. J’y suis allée pour faire la promotion de mon livre à la télévision zaïroise. Toutes les fois où j’ai envoyé, à ma place, Monimambo au pays, c’était pour un motif qui n’avait rien à voir avec ses études. En mars 1991, il y est allé tardivement –car le billet d’avion devait venir de Fribourg- pour honorer les funérailles de son père. Le questionnaire et les tableaux (pp 99,101, 102,104, 70, 71) se réfèrent également à l’Enseignement du Français par thématique,… Annexes mentionnées : aussi laisserons-nous parler quelques feuilles comparables parmi tant d’autres.



6 févr. 2018;

En exemples, 4 pages parmi plus de 100 avec des éléments (titres, passages,..) de l'une ou l'autre de mes œuvres qui se retrouvent dans la thèse que j'ai rédigée pour Augustin Odimba Omakoko:



6 févr. 2018;

Exemples de mes textes dans l'Enseignement de l'histoire,...(suite):



10 févr. 2018;


20 févr. 2018;


9 mars2018;

La veille du 8 mars, Journée internationale de lutte pour les droits des femmes

Nul besoin de rappeler que mon autobiographie, La fille du couvent, et la continuité des publications ont une valeur pédagogique qui trouve légitimement un écho appuyé dans les journées du 8 mars et du 25 novembre de chaque année. Pendant la projection du film «Jusqu’à la garde » de Xavier Legrand à l’UGC Cinécité, l’émotion est à son paroxysme. Il évoque les violences intrafamiliales et la place des enfants témoins. Il retrace également le processus de séparation, de l’audience de non-conciliation devant le juge jusqu’à l’aboutissement.

Malheureusement la séparation ne règle pas tous les problèmes. La pathologie de l’homme est de maintenir à tout prix le lien. Il ne supporte pas que celle qu’il a dominée lui échappe. Oscillant entre haine et jalousie, il lui prête des amants. Il va égoïstement et sans vergogne utiliser son fils de 11 ans (il a déjà perdu sa fille de 17 ans qui ne veut plus le revoir). L’enfant n’est qu’un moyen d’atteindre encore la mère qu’il protège. Il se sert de lui sans se soucier de ce qu’il peut ressentir et des suites psychologiques massives dans son développement, sa confiance au monde et son mode de relation avec autrui.

Le public est autant envoûté par une personnalité psychopathologique, un menteur, un manipulateur, un paranoïaque qui réitère à plusieurs reprises qu’il a changé que par la réalité de la terreur, la peur incommensurable de la femme battue.


9 mars 2018;

Le 8 mars – rencontre –débat avec l’actrice auteure de l’ouvrage « Accrochée à la vie ».

Elle témoigne de sa situation de multi discriminée en tant que femme séropositive… Depuis 3 ans, elle sensibilise contre le Sida. Le Sida, justement, « on n’en parle plus, ou si peu, ou si mal. Comme si le problème était résolu et les porteurs du virus invisibles. Dans une société qui semble plus ouverte, vivre avec le VIH en 2018 est paradoxalement parfois plus difficile, la compassion de premières décennies ayant cédé le terrain à la culpabilisation. Pour faire reculer les préjugés et les tabous, il est urgent de donner une parole, un visage à celle ou à celui qui aujourd’hui ose dire qu’elle ou il est porteuse ou porteur du VIH pour montrer que la vie est là ».

Contrairement à Augustin Odimba Omakoko qui a voulu me tuer pour protéger son secret sida, elle assume mieux ses problèmes de santé en les regardant en face. Elle mérite notre admiration !



18 mars 2018;

Ça fait du bien de recevoir, 8 ans après la publication de "La fille du couvent", des messages comme ceux de Valérie et Élisabeth. La première me témoigne son "immense respect pour avoir écrit cette histoire, votre histoire, avec autant de pudeur, de tolérance, de courage et de force. Je suis admirative". Quant à la deuxième, "je me suis procuré votre livre biographique, votre force à travers toutes ces souffrances, vos mots, cela m'a beaucoup touché... Je pense à vous et je remercie notre Père Céleste de vous avoir "portée" ou soutenue jusqu'à ce jour. Vous êtes une miraculée plus d'une fois". Merci à vous deux pour votre soutien appuyé.


Le 8 mars (suite). Citant le cas d'un homme qui avait sciemment contaminé sa compagne à Seine-Saint-Denis, elle continue: "le sida reste un tabou majeur..., il est toujours aussi dur d'en parler, quel que soit le milieu, le niveau d'éducation, la religion ou la communauté. Personne n'ose dire qu'il est porteur du VIH". Et moi d'ajouter en sourdine, "Philomène, tu l'as échappé belle. Et Augustin Odimba Omakoko n'a rien dit non plus à la maman de Darlène née au début de 1992 et à celle du petit Leuenberger né en 1997. Il n'y a que la trithérapie qui les a sauvées. Le porteur du virus lui-même ignorait d'ailleurs que le traitement avait l'avantage de ne plus contaminer. Ce sont les études récentes qui le prouvent.


21 mars 2018;



23 mars 2018;

Je comprends qu'Augustin Odimba Omakoko puisse farouchement nier de l'être. C'est son droit. Mais s'adonner sans scrupule aux rapports non-protégés et avoir des enfants avec les femmes sans rien leur dire.... est criminel.

Vivre avec le VIH-sida aujourd’hui

On estime que 150 000 personnes vivent avec le VIH-sida en France. Grâce aux progrès des traitements anti-viraux, le virus n’est plus synonyme de condamnation à court terme pour les personnes atteintes. Pour autant, il continue d’affecter profondément leur vie quotidienne. Pas pour des raiso...

1er avril 2018;


Le seul et l'unique trésor. Merci Valérie! Mina, je pense bien à toi.



3 mai 2018;

"Dans les yeux d'Oliver" hier soir sur France 2, plusieurs exclusions sociales dont celle de Joël, séropositif depuis 1992. La trithérapie ne le guérit pas mais lui permet de vivre à peu près comme tout le monde. Un témoignage-leçon de vie qui devrait inspirer Augustin Odimba Omakoko, prénom adopté lors du recours à l'authenticité les années 70.

14 mai 2018;

Même sous serment: le mensonge.


21 juin 2018;

« Seul-e contre tous », tel était le sujet de l’émission « Dans les yeux d’Olivier » sur France 2 hier soir. Quatre témoignages bouleversants dont celui de Christophe, broyé par la malveillance et les accusations mensongères pour le faire plier. J’ai admiré sa volonté implacable pour faire triompher la vérité et son recours à la justice pour retrouver sa dignité.

L’isolement total, Nguya dans « La fille du couvent » l’a vécu. Monimambo est un imposteur qui vit toujours dans la terreur d’être démasqué : à Fribourg il l’isole pour que les étudiants ne découvrent pas la supercherie de la rédaction de la thèse ; à Strasbourg il craint que sa séropositivité ne soit dévoilée. Après la rupture enfin, ce sont la honte des violences subies et le harcèlement qui conditionnent sa solitude. La délivrance viendra par l’écriture qui lui rendra sa liberté de parole parfois dérangeante pour les adeptes du comportement à l’ancienne



27 juin 2018;

Benjamin, un éclair prodigieux et hypnotique lors de mon intervention à l'Université. Merci pour l'animation de l'auditoire. Merci à mon groupe de témoignages sur le sida dans les collèges et lycées de la Ville. Bonnes vacances!


2 juillet 2018;

Toute ma gratitude les amis-ies! Merci pour toute la chaleur et le soutien apportés à ma page officielle.

9 juillet 1918

Coup de gueule !

Madame,

Parce que vous nous m’adressez insidieusement, à mon enfant et à moi, vos leçons, vous vous reconnaîtrez sûrement à travers mes propos.

Vous en êtes consciente comme moi, personne ne sait ce qui se passe dans un mariage qui n’est pas le sien. Si pour vous Augustin Odimba Omakoko est défendable, pour moi il est l’incarnation même de la violence, du mensonge et de la tricherie. Un homme qui ose assener des coups de marteau à son épouse, sous les yeux de son enfant en classe des petits dans le seul but de protéger sa séropositivité, est un mari indigne et un père irresponsable. C’est un malade. Il a fait le choix d’une défense psychologique, le déni pour tenir dans le mensonge en calomniant sa victime pour installer le doute. Il n’a jamais compris que sa stratégie me posait un problème de conscience et de crédibilité comme « il n’a pas supporté », selon les voisins menacés du 13b rue de la Glacière à Schiltigheim, mon départ. Les études actuelles démontrent que « sans se dévoiler, ce malade violent vit toujours du passé et de la haine, livre une guerre sans merci. La rupture voulue par sa victime ne met pas fin à sa dangerosité. Il joue la victimisation à tout-va avec l’obsession de retourner la situation en faisant croire que sa victime a tous les défauts de la terre ».

C’est exactement ce qu’Augustin Odimba Omakoko a fait et continue de faire depuis mon départ et après avoir épuisé toutes les voies juridiques de recours pour me récupérer. Il s’est enfui en Suisse mais il reste, malgré son remariage par intérêt, le genre : « si tu ne veux pas être avec moi, tu ne seras avec personne d’autre », quitte à véhiculer une image répugnante de sa victime. Le fait qu’il invente autant de sornettes sur moi en dit long. Tous les moyens sont bons pour y arriver. Jadis il a traumatisé son enfant qu’il ne devait revoir qu’à la suite d’une mise à l’épreuve et une obligation de se soigner. Aujourd’hui il instrumentalise l’adulte. Tout ce qu’il n’a pas pu obtenir de la justice ou en emmerdant les administrations strasbourgeoises et mes prestigieuses amies en leur recommandant mon rejet, il espérait réussir en profitant de la vulnérabilité de son enfant qui, devenu adulte et ayant lui-même des enfants, a voulu en 2016 s’approcher de lui. « Un réflexe irrésistible à ce stade de la vie», selon les spécialistes des violences faites aux femmes. Mais ce fut sans compter avec la personnalité d’Augustin Odimba Omakoko. Ce dernier s’est précipité de saisir ce contact renoué comme une occasion inespérée de faire passer son enfant pour une caution de son innocence. Ce qui est totalement inexact.

Il fallait d’abord que tout le monde le sache : en plus de l’exposer en photos sans même demander sa permission, il l’a traîné en Belgique où je ne connais personne et où il n’a jamais emmené les enfants de ses autres femmes : Darlène dont la maman parle la même langue coutumière que lui ou le fils Leuenberger utilisé pour valider son séjour humanitaire en Suisse et dont la mère est véritable tombe dont l’animateur ne préfère dire que ce qui l’arrange lui. Il la cite comme preuve indirecte et lui colle l’étiquette de biologiste. Une scientifique qui ne saurait pas comment s’y prendre pour effectuer un test contre le sida et qui serait aidée par la justice bernoise en 2007 ? Choisie pour son ignorance et sa crédulité, cette pauvre femme devrait quand même se demander pourquoi, après avoir avoué porter le virus lors de son arrestation à Fribourg en 1999, Augustin Odimba Omakoko refusait catégoriquement de se soumettre au même test qu’elle ? Un chercheur sérieux et digne de ce nom devrait être capable d’obtenir un titre de séjour dans un pays sans se servir d’un enfant.

Ensuite, tout en écartant du tableau une compagnie qui aurait pu le gêner parce qu’elle l’a confondu au sujet de sa fausse histoire de nationalité suisse, Augustin Odimba Omakoko a fait en sorte que son enfant rencontre, comme par hasard, en Belgique une fausse mama kulutu (ma grande sœur). Une mama kulutu certainement enrôlée pour me décrire comme une femme sortant de nulle part et présentant toutes les tares de la délinquance, celles d’une femme de la rue : prostitution, vol… Une mama kulutu qui, si elle a eu la médiocrité d’approcher mon enfant, n’a pas par contre eu l’honnêteté et le courage de répondre à mes appels insistants. J’attends toujours. C’est dire que je ne connaîtrai jamais son identité. Pourtant, je suis bel et bien La fille du couvent, avec cette chance divine d’avoir été protégée et choyée par les religieuses, puis par un vrai oncle et une vraie tante. En me suivant à Kinshasa en novembre 1992 avec un billet d’avion obtenu par tromperie, Augustin Odimba s’était bien mis à genoux devant eux pour rattraper la séance de conciliation manquée au TGI de Strasbourg.

Avant la Belgique, Augustin Odimba Omakoko a installé l’enfant dans une pression d’informations délirantes sur sa mère. Il l’avait d’abord orienté vers une fausse amie de sa mère, Godelieve E. à Strasbourg pour lui parler par exemple de Placide W, un amant supposé à Fribourg alors même que cette vipère n’a jamais vécu en Suisse. Et c’est enfin le tour d’Augustin Odimba Omakoko lui-même de lui raconter qu’il est né à l’aide d’une Césarienne alors qu’il n’en a jamais question. Sa venue au monde à Fribourg était naturelle. Il a mis l’enfant en garde contre sa maman qui serait dangereuse au risque de l’empoisonner ou d’user de la sorcellerie. En tous les cas sa séropositivité n’est pas le fait d’une sorcière ni celui d’une prière comme il avait coutume de me le reprocher. Il s’est évertué à le convaincre que les coups de marteau n’ont jamais existé alors qu’il a assisté à la scène violente et en a souffert à l’âge de la Maternelle. Les motifs de divorce ne seraient pas ceux évoqués au tribunal. Ce dernier aurait été manipulé parce que les femmes seraient plus écoutées que les hommes. J’aurais écrit moi-même les lettres de menaces de mort en imitant son écriture pour les poster moi-même en Suisse. Il ne peut plus se rendre au Congo parce que je lui aurais créé des problèmes. Je serais spécialiste de faux documents contrairement à lui. Il a même sollicité l’enfant pour obtenir une attestation signée de sa main, utile pour un litige déjà tranché trois fois de suite par les instances judiciaires congolaises en lui prouvant la stupidité de ses affirmations,… Toute une série fabrications hallucinantes postérieures au divorce, constituant un véritable programme-choc destiné à influencer négativement la perception de l’enfant, espérant ainsi saboter sa relation avec sa mère. Tous les ingrédients de la stratégie d’un paranoïaque aigu (c’est l’expert psychiatre du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg qui l’affirme) qui se raconte et raconte des histoires y passent. Sa liste interminable pourrait faire l’objet d’un volume littéraire.

La différence entre sa façon de procéder et la mienne est claire : bien conscient de ses mensonges, il parle toujours de moi dans l’ombre. Mais les traces d’une taupe finissent par être visibles. Il n’a pas vraiment le choix. C’est dans son intérêt, c’est vrai, d’avancer visage masqué : après avoir lu mon livre, il s’est constitué toute une série de papiers à charge, il n’aimerait surtout pas qu’ils tombent entre mes mains. Compte tenu des circonstances de son entrée, son installation et sa vie en Suisse, il vaudrait mieux ne pas faire des vagues qui attireraient l’attention sur lui. C’est désagréable, Monsieur, de vivre sur un territoire où les autorités ne voient en toi rien d’autre qu’un tricheur notoire. Après avoir perdu toutes ses procédures pour diffamation, il serait stupide de se mettre encore une fois en position d’un face-à-face judiciaire qui me donnerait raison. Quant à moi, la vérité étant de mon côté, je peux faire du bruit : dénoncer devant la justice ou réagir officiellement sur la page consacrée à « La fille du couvent ». Monsieur, cesse de parler à la place de l’enfant et de dire n’importe quoi sur moi à qui bon te semble dans la rue et j’arrêterai de prendre de la hauteur pour te répondre. Je ne te dois rien.

Alors toute femme qui ne me connaît pas, et dont je n’ai jamais entendue parler, qui me juge sur la base de seules élucubrations d’un paranoïaque, toute femme qui vient s’immiscer en 2018 dans un conflit vieux de 28 ans sans en connaître les tenants et aboutissants, toute femme qui participe et encourage les manœuvres d’Augustin Odimba Omakoko se disqualifie totalement. Toute femme qui ne connaît mon enfant que de loin, depuis quelques mois seulement et qui prétend déceler ses besoins pour oser lui prodiguer des conseils est une prétentieuse. C’est une prétention malsaine. C’est de la manipulation tout simplement. Mais ça ne m’étonne pas. Un peu de modestie et de culture, vous saurez ce dont a besoin un enfant témoin des violences conjugales. Au fait, si vous étiez si proche de son père, pourquoi n’ai-je jamais entendu parler de vous ? Jamais eu un signe généralement sans raison spécifique ou lors des naissances, des fêtes de fin d’année ou encore de ses hospitalisations à Genève et à Strasbourg ? Dans la malveillance vous venez en renfort, ce qui ne s’est pas encore produit jusqu’ici. L’union fait la force ! En avez-vous seulement conscience ? A moins d’être naïvement utilisée, vous également.

Pour être crédible et honnête, je suis toujours précise et ne parle pas de n’importe quoi ou n’importe qui, j’avance à visage découvert et je vise toujours ma cible. Aussi une femme digne n’est pas celle des apparences. Tout ce qui caractérise Augustin Odimba Omakoko. Au lieu d’être obsédé par la dégradation de mon image, apprenez-lui comment témoigner sa reconnaissance : sans la rédaction de sa thèse, il ne se serait pas autoproclamé « chercheur indépendant » en Suisse, sans pour autant le prouver. Il est le chercheur des énumérations simplistes. Aucun ouvrage ou article développant une argumentation construite, référencée soumise au regard critique d’un milieu scientifique. Sans l’avoir poussé à commencer très tôt la trithérapie en 1991, il serait déjà dans le trépas. De Belgique ou des États-Unis je n’ai donc de leçon à recevoir de personne. J’ai toujours avancé vite dans ma vie. Le seul temps de retard connu dans l’évolution de ma carrière est celui consacré à vouloir faire de lui un homme sans complexes. La prochaine fois, au lieu de profiter de la crédulité de ses interlocuteurs, qu’il présente des preuves objectives contraires aux arguments développés dans mon livre et nous jouerons enfin sur le même terrain. Hier responsable des dégâts qu’il n’a pas réparés en se volatilisant dans la nature jusqu’à la prescription des faits et dont les répercussions vont au-delà de mon enfant et moi-même, aujourd’hui il met l’endoctrinement au service de sa vengeance. Hélas ! un tel exercice a ses limites car un enfant brillant finit progressivement par se rendre compte qu’il est utilisé. Il a besoin d’un amour inconditionnel de son père et non d’être objectivé. Les deux objectifs inavoués poursuivis par le père n’ont pas été atteints. Augustin Odimba Omakoko, dont l’ignominie et la lâcheté n’ont aucune limite, vient de rater une occasion de se racheter dignement. Honte à lui !

Coup de gueule !

Madame,

Parce que vous nous m’adressez insidieusement, à mon enfant et à moi, vos leçons, vous vous reconnaîtrez sûrement à travers mes propos.

Vous en êtes consciente comme moi, personne ne sait ce qui se passe dans un mariage qui n’est pas le sien. Si pour vous Augustin Odimba Omakoko est défendable, pour moi il est l’incarnation même de la violence, du mensonge et de la tricherie. Un homme qui ose assener des coups de marteau à son épouse, sous les yeux de son enfant en classe des petits dans le seul but de protéger sa séropositivité, est un mari indigne et un père irresponsable. C’est un malade. Il a fait le choix d’une défense psychologique, le déni pour tenir dans le mensonge en calomniant sa victime pour installer le doute. Il n’a jamais compris que sa stratégie me posait un problème de conscience et de crédibilité comme « il n’a pas supporté », selon les voisins menacés du 13b rue de la Glacière à Schiltigheim, mon départ. Les études actuelles démontrent que « sans se dévoiler, ce malade violent vit toujours du passé et de la haine, livre une guerre sans merci. La rupture voulue par sa victime ne met pas fin à sa dangerosité. Il joue la victimisation à tout-va avec l’obsession de retourner la situation en faisant croire que sa victime a tous les défauts de la terre ».

C’est exactement ce qu’Augustin Odimba Omakoko a fait et continue de faire depuis mon départ et après avoir épuisé toutes les voies juridiques de recours pour me récupérer. Il s’est enfui en Suisse mais il reste, malgré son remariage par intérêt, le genre : « si tu ne veux pas être avec moi, tu ne seras avec personne d’autre », quitte à véhiculer une image répugnante de sa victime. Le fait qu’il invente autant de sornettes sur moi en dit long. Tous les moyens sont bons pour y arriver. Jadis il a traumatisé son enfant qu’il ne devait revoir qu’à la suite d’une mise à l’épreuve et une obligation de se soigner. Aujourd’hui il instrumentalise l’adulte. Tout ce qu’il n’a pas pu obtenir de la justice ou en emmerdant les administrations strasbourgeoises et mes prestigieuses amies en leur recommandant mon rejet, il espérait réussir en profitant de la vulnérabilité de son enfant qui, devenu adulte et ayant lui-même des enfants, a voulu en 2016 s’approcher de lui. « Un réflexe irrésistible à ce stade de la vie», selon les spécialistes des violences faites aux femmes. Mais ce fut sans compter avec la personnalité d’Augustin Odimba Omakoko. Ce dernier s’est précipité de saisir ce contact renoué comme une occasion inespérée de faire passer son enfant pour une caution de son innocence. Ce qui est totalement inexact.

Il fallait d’abord que tout le monde le sache : en plus de l’exposer en photos sans même demander sa permission, il l’a traîné en Belgique où je ne connais personne et où il n’a jamais emmené les enfants de ses autres femmes : Darlène dont la maman parle la même langue coutumière que lui ou le fils Leuenberger utilisé pour valider son séjour humanitaire en Suisse et dont la mère est véritable tombe dont l’animateur ne préfère dire que ce qui l’arrange lui. Il la cite comme preuve indirecte et lui colle l’étiquette de biologiste. Une scientifique qui ne saurait pas comment s’y prendre pour effectuer un test contre le sida et qui serait aidée par la justice bernoise en 2007 ? Choisie pour son ignorance et sa crédulité, cette pauvre femme devrait quand même se demander pourquoi, après avoir avoué porter le virus lors de son arrestation à Fribourg en 1999, Augustin Odimba Omakoko refusait catégoriquement de se soumettre au même test qu’elle ? Un chercheur sérieux et digne de ce nom devrait être capable d’obtenir un titre de séjour dans un pays sans se servir d’un enfant.

Ensuite, tout en écartant du tableau une compagnie qui aurait pu le gêner parce qu’elle l’a confondu au sujet de sa fausse histoire de nationalité suisse, Augustin Odimba Omakoko a fait en sorte que son enfant rencontre, comme par hasard, en Belgique une fausse mama kulutu (ma grande sœur). Une mama kulutu certainement enrôlée pour me décrire comme une femme sortant de nulle part et présentant toutes les tares de la délinquance, celles d’une femme de la rue : prostitution, vol… Une mama kulutu qui, si elle a eu la médiocrité d’approcher mon enfant, n’a pas par contre eu l’honnêteté et le courage de répondre à mes appels insistants. J’attends toujours. C’est dire que je ne connaîtrai jamais son identité. Pourtant, je suis bel et bien La fille du couvent, avec cette chance divine d’avoir été protégée et choyée par les religieuses, puis par un vrai oncle et une vraie tante. En me suivant à Kinshasa en novembre 1992 avec un billet d’avion obtenu par tromperie, Augustin Odimba s’était bien mis à genoux devant eux pour rattraper la séance de conciliation manquée au TGI de Strasbourg.

Avant la Belgique, Augustin Odimba Omakoko a installé l’enfant dans une pression d’informations délirantes sur sa mère. Il l’avait d’abord orienté vers une fausse amie de sa mère, Godelieve E. à Strasbourg pour lui parler par exemple de Placide W, un amant supposé à Fribourg alors même que cette vipère n’a jamais vécu en Suisse. Et c’est enfin le tour d’Augustin Odimba Omakoko lui-même de lui raconter qu’il est né à l’aide d’une Césarienne alors qu’il n’en a jamais question. Sa venue au monde à Fribourg était naturelle. Il a mis l’enfant en garde contre sa maman qui serait dangereuse au risque de l’empoisonner ou d’user de la sorcellerie. En tous les cas sa séropositivité n’est pas le fait d’une sorcière ni celui d’une prière comme il avait coutume de me le reprocher. Il s’est évertué à le convaincre que les coups de marteau n’ont jamais existé alors qu’il a assisté à la scène violente et en a souffert à l’âge de la Maternelle. Les motifs de divorce ne seraient pas ceux évoqués au tribunal. Ce dernier aurait été manipulé parce que les femmes seraient plus écoutées que les hommes. J’aurais écrit moi-même les lettres de menaces de mort en imitant son écriture pour les poster moi-même en Suisse. Il ne peut plus se rendre au Congo parce que je lui aurais créé des problèmes. Je serais spécialiste de faux documents contrairement à lui. Il a même sollicité l’enfant pour obtenir une attestation signée de sa main, utile pour un litige déjà tranché trois fois de suite par les instances judiciaires congolaises en lui prouvant la stupidité de ses affirmations,… Toute une série fabrications hallucinantes postérieures au divorce, constituant un véritable programme-choc destiné à influencer négativement la perception de l’enfant, espérant ainsi saboter sa relation avec sa mère. Tous les ingrédients de la stratégie d’un paranoïaque aigu (c’est l’expert psychiatre du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg qui l’affirme) qui se raconte et raconte des histoires y passent. Sa liste interminable pourrait faire l’objet d’un volume littéraire.

La différence entre sa façon de procéder et la mienne est claire : bien conscient de ses mensonges, il parle toujours de moi dans l’ombre. Mais les traces d’une taupe finissent par être visibles. Il n’a pas vraiment le choix. C’est dans son intérêt, c’est vrai, d’avancer visage masqué : après avoir lu mon livre, il s’est constitué toute une série de papiers à charge, il n’aimerait surtout pas qu’ils tombent entre mes mains. Compte tenu des circonstances de son entrée, son installation et sa vie en Suisse, il vaudrait mieux ne pas faire des vagues qui attireraient l’attention sur lui. C’est désagréable, Monsieur, de vivre sur un territoire où les autorités ne voient en toi rien d’autre qu’un tricheur notoire. Après avoir perdu toutes ses procédures pour diffamation, il serait stupide de se mettre encore une fois en position d’un face-à-face judiciaire qui me donnerait raison. Quant à moi, la vérité étant de mon côté, je peux faire du bruit : dénoncer devant la justice ou réagir officiellement sur la page consacrée à « La fille du couvent ». Monsieur, cesse de parler à la place de l’enfant et de dire n’importe quoi sur moi à qui bon te semble dans la rue et j’arrêterai de prendre de la hauteur pour te répondre. Je ne te dois rien.

Alors toute femme qui ne me connaît pas, et dont je n’ai jamais entendue parler, qui me juge sur la base de seules élucubrations d’un paranoïaque, toute femme qui vient s’immiscer en 2018 dans un conflit vieux de 28 ans sans en connaître les tenants et aboutissants, toute femme qui participe et encourage les manœuvres d’Augustin Odimba Omakoko se disqualifie totalement. Toute femme qui ne connaît mon enfant que de loin, depuis quelques mois seulement et qui prétend déceler ses besoins pour oser lui prodiguer des conseils est une prétentieuse. C’est une prétention malsaine. C’est de la manipulation tout simplement. Mais ça ne m’étonne pas. Un peu de modestie et de culture, vous saurez ce dont a besoin un enfant témoin des violences conjugales. Au fait, si vous étiez si proche de son père, pourquoi n’ai-je jamais entendu parler de vous ? Jamais eu un signe généralement sans raison spécifique ou lors des naissances, des fêtes de fin d’année ou encore de ses hospitalisations à Genève et à Strasbourg ? Dans la malveillance vous venez en renfort, ce qui ne s’est pas encore produit jusqu’ici. L’union fait la force ! En avez-vous seulement conscience ? A moins d’être naïvement utilisée, vous également.

Pour être crédible et honnête, je suis toujours précise et ne parle pas de n’importe quoi ou n’importe qui, j’avance à visage découvert et je vise toujours ma cible. Aussi une femme digne n’est pas celle des apparences. Tout ce qui caractérise Augustin Odimba Omakoko. Au lieu d’être obsédé par la dégradation de mon image, apprenez-lui comment témoigner sa reconnaissance : sans la rédaction de sa thèse, il ne se serait pas autoproclamé « chercheur indépendant » en Suisse, sans pour autant le prouver. Il est le chercheur des énumérations simplistes. Aucun ouvrage ou article développant une argumentation construite, référencée soumise au regard critique d’un milieu scientifique. Sans l’avoir poussé à commencer très tôt la trithérapie en 1991, il serait déjà dans le trépas. De Belgique ou des États-Unis je n’ai donc de leçon à recevoir de personne. J’ai toujours avancé vite dans ma vie. Le seul temps de retard connu dans l’évolution de ma carrière est celui consacré à vouloir faire de lui un homme sans complexes. La prochaine fois, au lieu de profiter de la crédulité de ses interlocuteurs, qu’il présente des preuves objectives contraires aux arguments développés dans mon livre et nous jouerons enfin sur le même terrain. Hier responsable des dégâts qu’il n’a pas réparés en se volatilisant dans la nature jusqu’à la prescription des faits et dont les répercussions vont au-delà de mon enfant et moi-même, aujourd’hui il met l’endoctrinement au service de sa vengeance. Hélas ! un tel exercice a ses limites car un enfant brillant finit progressivement par se rendre compte qu’il est utilisé. Il a besoin d’un amour inconditionnel de son père et non d’être objectivé. Les deux objectifs inavoués poursuivis par le père n’ont pas été atteints. Augustin Odimba Omakoko, dont l’ignominie et la lâcheté n’ont aucune limite, vient de rater une occasion de se racheter dignement. Honte à lui !



4 août 2018;

Augustin Odimba Omakoko "Ango" sait depuis novembre 1989 qu'il est séropositif par l'hôpital de Hautepierre et le professeur Jean-Marie Lang. Moi, je ne l'ai su qu'une année plus tard, mais cela ne m'avait pas empêché de me battre pour qu'il commence sa trithérapie dès 1991. Celle-ci lui permet de vivre plus longtemps, de ne plus transmettre le virus qui est toujours détectable dans son sang. Les études sur les avantages de la trithérapie sont récentes.



13 août 2018 (vidéo);

Un 22 juillet? Ouf! Les images sont là. La violence parle d'elle-même et l'auteur ose encore nier. Les "Monimambo" sont partout.





24 décembre 2016
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