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Récupération 21 nov. 2013 au 28 novembre 2017

Dernière mise à jour : 21 févr. 2022

21 nov. 2013

Le prix de la fondation #Chirac pour la prévention des conflits attribué au docteur Denis Mukwege. #LaFilleDuCouvent #RDC #RDCongo


25 nov.2013 (le sida progresse chez adolescents);

Journée nationale pour la lutte contre les #violences faites aux #femmes. #LaFilleDuCouvent



25nov.2013


Des mots à la réalité sur le terrain... #Najatvb #LaFilleDuCouvent



25 novembre 2013

Émotion. Beaucoup d'émotion cet après-midi à #Angers. Lors de mon intervention, j'évoquais ma fille fraîchement diplômée et qui, jadis, me sauva la vie. C'est alors qu'un garçon a poussé un "#Formidable..." de #Stromae. Évidemment ce qui fit une belle surprise pour moi ne l'était pas pour les organisateurs de la rencontre. #LaFilleDuCouvent


1 décembre 2013



1er déc. 2013




31 déc. 2013

La #FilleDuCouventvous souhaite ses meilleurs voeux, les plus chaleureux, de santé et de joie pour l'année 2014. Pour vos proches et vous-mêmes, qu'elle soit celle d'#espérance, de #sérénité, d'#épanouissementet de #communionavec les autres.

"Soyez les poètes de votre vie.

Osez chaque jour mettre du bleu dans votre regard.

Et de l'orange à vos doigts,

Des rires à votre gorge et surtout, surtout,

Une tendresse renouvelée à chacun de vos gestes".

J. Salomé

6 février 2014

Après le film: C'est pas de l'amour, suivi du débat: Sortir de l'enfer des violences conjugales, Nguya dit: "bravo au courage et à la patience de Laëtitia, la voisine qui tend la main à Hélène, la victime". A la fin, Nicolas confond les deux femmes. A ce stade, est-il vraiment récupérable malgré sa prise en charge dans une structure pluridisciplinaire? L'installation des urgences médico-judiciaires est récente. Elles ne demandent qu'à être optimisées et sont d'une aide indiscutable pour réaffirmer la place et la crédibilité de la victime. Rien ne peut justifier les coups. #LaFilleDuCouvent

4 mars 2014;

Les séropositifs peuvent être traîtés comme n'importe quels autres patients. #LaFilleDuCouvent #Sida #VIH #LeMonde



5 mars 2014

Dans le cadre de la semaine spéciale consacrée aux femmes sur #France2 un film infrarouge, à l'écoute d'une parole enfouie, a été diffusé hier soir. Tout le monde a parlé: la femme victime, l'homme violent, l'enfant témoin et les structures d'accompagnement. Un seul constat: beaucoup reste à faire pour la psychologie de l'homme violent. #LaFilleDuCouvent

5 mars 2014

En Europe 33% des femmes ont été victimes de violence. #LaFilleDuCouvent #LeMonde



9 mars 2014

De nombreux lieux de manifestations. De la médiathèque Olympe de Gouges au Centre Marcel Marceau, par exemple, les militantes féministes et toute femme ont redoublé de dynamisme dans les échanges culturels et les retours d'expérience. Comme de véritables tigresses, elles ont lu, en conclusion, quelques revendications pour valoriser leur combat opiniâtre et une belle promesse, celle de rester vigilantes dans la continuité de la sagesse et la mise en garde de Simone de Beauvoir : "N'oubliez jamais qu'il suffira d'une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant."

27 avril 2014

Mon "grand-père est saint", dirait ma voisine de chambre à la cité universitaire (#LaFilleDuCouvent p. 64). C'est toute ma #joie intérieure et ma #fierté de croire. La place Saint-Pierre présentait ce matin un bel exemple de l'#Église universelle.



7 mai 2014



Le monde

*Violences conjugales : 146 personnes mortes en 2013 Cent vingt et une femmes et 25 hommes ont été victimes de leur compagnon ou ex-compagnon, selon une étude publiée par le gouvernement.

Le Monde avec AFP


9 juin 2014


Sophie, pas de mot pour exprimer cette injustice, cette ignominie... les violences faites aux femmes n'existent pas que dans les discours des féministes, elles sont une réalité... Cette fois, cela s'est passé à côté de nous, a touché une fille pleine de vie que beaucoup de nous connaissions. Tous les 3 jours en France, une femme meurt sous les coups de son conjoint.


28 août 2014


"Dans les yeux d'Olivier- Femmes en très grand danger"

Vendredi 22 août, le gouvernement annonçait la distribution de plus de 500 téléphones d'alerte "grand danger" sur l'ensemble du territoire pour protéger la femme victime avant de nouvelles violences.

Hier soir sur France 2, le dernier inédit de la troisième saison du magazine "Dans les yeux d'Olivier" a fait, avec beaucoup de justesse, une poignante démonstration sur les souffrances dans plusieurs couples, évoquant coups, séquestration, harcèlement, chantage, pressions psychologiques, menaces de mort, ... Un véritable enfer pour ces femmes, mortes (le cas d'Audrey) ou aux portes de la mort (l'exemple de Julie). Dans le témoignage Olivier Delacroix souligne également l'inconscience d'Audrey, Aurélie, Julie, Laurence, Morgane et Samia face au danger qui les guette et leur degré de résistence.

Pour avoir échappé au pire Nguya, dans #LaFilleDuCouvent, pense qu'il s'agit moins d'inconscience et plus de la volonté et de l'espoir de sauver Monimambo, le mari violent, le "malade".

Dans le document de France 2 Aurélie, hébergée par Évelyne et Jo, vit dans la clandestinité. C'est une forme d'enfermement qui continue pour elle et qui, je l'espère, évoluera avec l'usage du téléphone "grand danger". Un outil intimement lié à ses initiateurs, dont Patrick Poirret, notre ancien procureur de la République de #Strasbourg. Son intérêt et soutien à la cause furent remarquables. Son intervention et sa présence à tous nos colloques sur les violences faites aux femmes en témoignent.

Merci Olivier et FRANCE 2 de nous tenir en éveil !


29 septembre 2014


Encore et encore...




16 octobre 2014


La Ville de #Strasbourg organise en partenariat avec les associations locales, dont le Mouvement du Nid du Bas-Rhin, un colloque sur les violences faites aux femmes : "Les vulnérabilités au cœur des violences faites aux femmes".


20 nov. 2014





Lors de cette journée passée au Palais de la musique et des congrès sur les "vulnérabilités au coeur des violences faites aux femmes", le plus impressionnant est venu de la prestation dansée : "les quatre mômes de Lo" et leur corps aussi tortueux que le chemin emprunté par une victime de violences. À la fin, c'est le bouquet : les images de la valise et la main tendue encouragent le départ. Bravo les filles pour cette forme d'expression !


25 novembre 2014




1er janvier 2015


Meilleurs voeux de santé et de réussite pour l'année 2015. Et surtout, comme nous le conseille le Saint-Père, soyons les messagers de la douceur, de la tendresse et du partage.

"Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage".

Albert Schweitzer


9 janv. 2015

Prudence !



25 févr. 2015


Belle initiative !



12 avril 2015



Son oeuvre, la meilleure. Véritable pierre angulaire d'un des bâtisseurs de l'église de Kinshasa. Votre bénédiction est également intemporelle (lire préface 1 p. 9 et "Douleur de la séparation" p. 71 dans La Fille du Couvent).


21 juin 2015




28 juin 2015


"Contrairement à ce que beaucoup pensent jusqu'aujourd'hui (surtout en Afrique), la violence ne fait pas partie de l'amour.

Beaucoup des femmes victimes d'abus physique et mental trouvent toutes sortes d'excuses pour justifier le comportement atroce de leur conjoints par peur de se retrouver célibataires (jusqu' au jour où elles se retrouvent plutôt au cimetière) au lieu de le dénoncer.

Un Homme avec un grand H ne lève jamais la main sur une femme. JAMAIS !

L'amour n'est pas violent, l'amour pardonne, l'amour supporte."


24 nov. 2015



C’est une violence qu’on ne voit jamais. Et pourtant, c’est la plus répandue. Sara Naomi Lewowicz est l’une des rares photographes à avoir pu rapporter des images de cette violence au cœur de l’intime. Récit de ce à quoi ressemble la violence domestique.


29 novembre 2015

20 déc. 2016




11 janvier 2017


La fille du couvent, 6 ans plus tard

Les combats menés par les femmes au XXème siècle sont multiples et variés. Comme Eliane Viennot, La fille du couvent intègre toutes les luttes notamment celle contre le déni de réalité du virus VIH qui m’avait valu des coups de marteau le 22 juillet 1991 et qui reste criante d’actualité. Il y a tant de comportements rusés, pour ne pas dire criminels, sur lesquels on a tendance à fermer les yeux alors qu’ils devraient être dénoncés avec force. J’invite les femmes et les honnêtes hommes à crier avec moi tout au long de l’année 2017 au cours d’une rencontre, une conférence, un débat, … et la société à entendre ce cri.

Un infini merci au Dr. Philippe KORSEC, ce médecin et voisin au rez-de-chaussée de mon immeuble qui m’avait prise en charge maintes fois suite aux violences conjugales et dont « le geste qui sauve » a permis d’arrêter l’hémorragie avant les soins hospitaliers ce 22 juillet 1991. Après une vive discussion cet après-midi, il attire mon attention sur le fait que « la violence n’est pas à sens unique, d’homme à femme. Elle n’est pas l’apanage d’un sexe, mais celui d’un être débordé lui-même par la haine qu’il ne sait pas maîtriser. Paragraphe à exploiter postérieurement en s’inspirant des sites canadiens ». Rendez-vous le 21 février à 18 h. Que 2017 soit follement militante et mobilisatrice!

Philomène Milolo


16 janvier 2017


La fille du couvent Nguya a failli mourir sous trois coups de marteau de son mari le 22 juillet 1991 à 17 heures.

La fille du couvent (Editions Bénévent) de Philomène Milolo relate un cas concret du lien sida-violences conjugales. Comment prendre en charge un patient habité par l’obsession de la transmission du virus ? Question qui interpelle chacun de nous.

Cette vidéo a été frauduleusement effacée. Une suite lui est donnée pour ne pas éteindre la flamme du combat que je mène depuis 1990 contre celui que je nomme « un marchand du virus du sida » qui jouit de l’ignorance de ses partenaires à Strasbourg, Nancy, Berne, … (La fille du couvent pp 341 – 520).

La fille du couvent est (bel et bien) face à deux cas de conscience. Elle se voit être doublement complice : complice d’une fraude, elle a dû rédiger intégralement une thèse pour permettre à son mari d’accéder au titre de docteur ; complice de mise en danger de la vie d’autrui, elle a également dû payer les sorties galantes de son mari qui, lui, se sachant porteur d’un virus mortel, n’a qu’une obsession : transmettre. Le Sida est devenu une arme de domination, un pouvoir. Comme un dictateur, avec un cynisme qui laisse sans voix, l’homme infecté se délecte de fondre, non protégé, sur une femme qui ignore que sa vie est en danger…Les calculs, le mensonge chronique sont-ils un cas pathologique ou une question d’éducation ? Nguya peut-elle, par amour, fermer les yeux ? Le fait de servir à son mari sa thèse sur un plateau est-il un tremplin pour imposer le déni et ses corollaires ? L’essentiel du témoignage livre les coulisses d’un tourment intérieur.

A toi, femme de France et d’ailleurs, Bonne lecture !

Philomène MILOLO


17 janvier 2017




20 janvier 2017



L’agence nationale contre les pensions alimentaires impayées est lancée

Le taux de pensions alimentaires non versées atteindrait entre 30 % et 40 %. L’agence aidera en priorité les mères s’occupant seules de leurs enfants.





2 févr. 2017


"Voici la liste des intellectuels Congolais formés dans les universités suisses: 1960-1996", intitulé publié par Augustin Odimba le 28 novembre 2016. Il cite son nom parmi "Les docteurs". Références indiquées (Dies academicus de l'Université de Genève 1984-1988; Biographie des thèses de doctorat suisses sur l'Afrique noire)..

Pour les chercheurs (ses) qui voudront aller plus loin en feuilletant les références données..., la réponse sera passionnante. La vérification des sources et l'éducation à l'information nous concernent, tous. Honnêteté intellectuelle oblige!

Philomène MILOLO


6 févr. 2017


La fille du couvent Nguya a failli mourir sous trois coups de marteau de son mari le 22 juillet 1991 à 17 heures.

La fille du couvent (Editions Bénévent) de Philomène Milolo relate un cas concret du lien sida-violences conjugales. Comment prendre en charge un patient habité par l’obsession de la transmission du virus ? Question qui interpelle chacun de nous.

Cette vidéo a été frauduleusement effacée. Une suite lui est donnée pour ne pas éteindre la flamme du combat que je mène depuis 1990 contre celui que je nomme « un marchand du virus du sida » qui jouit de l’ignorance de ses partenaires à Strasbourg, Nancy, Berne, … (La fille du couvent pp 341 – 520).

La fille du couvent est (bel et bien) face à deux cas de conscience. Elle se voit être doublement complice : complice d’une fraude, elle a dû rédiger intégralement une thèse pour permettre à son mari d’accéder au titre de docteur ; complice de mise en danger de la vie d’autrui, elle a également dû payer les sorties galantes de son mari qui, lui, se sachant porteur d’un virus mortel, n’a qu’une obsession : transmettre. Le Sida est devenu une arme de domination, un pouvoir. Comme un dictateur, avec un cynisme qui laisse sans voix, l’homme infecté se délecte de fondre, non protégé, sur une femme qui ignore que sa vie est en danger…Les calculs, le mensonge chronique sont-ils un cas pathologique ou une question d’éducation ? Nguya peut-elle, par amour, fermer les yeux ? Le fait de servir à son mari sa thèse sur un plateau est-il un tremplin pour imposer le déni et ses corollaires ? L’essentiel du témoignage livre les coulisses d’un tourment intérieur.

A toi, femme de France et d’ailleurs, Bonne lecture !

Philomène MILOLO


7 mars 2017


Philomène MILOLO

Appel du 8 mars 2017

Point d’orgue le mercredi 8 mars à partir de 18 h, salle de la Bourse, tous-tes debout pour fêter les

Pour mémoire, l’article du Journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace de mars 2011 faisait de La fille du couvent un livre emblématique du 8 mars et 25 novembre. Deux dates au cours de l’année pour nous appuyer tout spécialement sur son contenu. C’est ma petite pierre à l’édifice de la lutte pour les droits des femmes, mais également ma grande satisfaction, plus que la condamnation de Monimambo, qui n’a d’ailleurs jamais été mise en application. Car, sorti de prison sous contrôle judiciaire, il s’est volatilisé dans la nature avant son jugement (La fille du couvent pp ; 471 – 486). Ce 8 mars 2017 Philomène MILOLO vous renvoie à ces références (à recopier): https://youtu.be/EEdDX1WtY7s


25 avril 2017


Monimambo, lui, c'est tout l'opposé.Violences conjugales : « J’ai honte de ce que j’ai fait » « Le Monde » a pu suivre neuf hommes condamnés pour violence envers leur conjointe, qui, dans le cadre de leur peine, doivent effectuer un stage de responsabilisation. LE MONDE | 25.04.2017 à 06h42 • Mis à jour le 25.04.2017 à 14h37 | Par Gaëlle Dupont Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Ajouter Partager Tweeter image: http://s1.lemde.fr/.../5116851_7_956c_groupe-de-parole-d... Groupe de parole d’auteurs de violences conjugales à la direction de l’administration pénitentiaire à Meaux (Seine-et-Marne), fin mars. Groupe de parole d’auteurs de violences conjugales à la direction de l’administration pénitentiaire à Meaux (Seine-et-Marne), fin mars. PHILIPPE BRAULT POUR "LE MONDE" Neuf hommes sont assis autour de tables collées les unes aux autres, comme pour une réunion de travail. C’en est une, mais d’un genre particulier. Nous sommes à Meaux, dans l’une des antennes du service pénitentiaire d’insertion et de probation de Seine-et-Marne. Ces hommes qui ne se connaissaient pas la veille s’apprêtent à passer leur deuxième journée ensemble. Ils sont la face cachée des violences conjugales, celle dont on ne parle jamais : les auteurs. Tous ont été condamnés pour avoir frappé leur conjointe. Participer à un stage de responsabilisation de trois jours fait partie de leur peine. Le Monde a été autorisé à y assister, à condition de protéger l’anonymat des personnes présentes. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/.../j-aurais-pu-la-tuer-j-ai-honte...

27 juin 2017


PMA Le Comité d'éthique favorable à l'ouverture de la PMA pour toutes les femmes Par Agnès Leclair , Service infographie du Figaro Mis à jour le 27/06/2017 à 20:14 Publié le 26/06/2017 à 21:05 Le Comité d'éthique favorable à l'ouverture de la PMA pour toutes les femmes 2288 Facebook Twitter Google + Linkedin E-mail Imprimer Remonter au début de l'article INFOGRAPHIE - Le Comité consultatif national d'éthique a rendu ce matin un avis très attendu. Emmanuel Macron avait notamment déclaré qu'il attendrait ce rapport pour ouvrir le débat sur la PMA. Annoncé depuis plus de quatre ans, l'avis du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) sur la PMA a été rendu public ce mardi. Au fil des années, cet avis consultatif a pris une importance très politique. En effet, alors qu'il était question de permettre à toutes les femmes d'avoir accès à la procréation médicalement assistée (PMA) au moment de la loi Mariage pour tous, il a été invoqué par François Hollande pour remettre le sujet à plus tard. Le président de l'instance, Jean-François Delfraissy, avait prévenu: cet avis «ne fera sûrement pas l'unanimité et va déclencher des anticorps de part et d'autre». • PMA: le CCNE favorable à l'ouverture à toutes les femmes Le constat Selon les derniers chiffres de l'agence de biomédecine, 1346 enfants sont nés à la suite d'un don de gamètes en France en 2014, dont 1107 grâce à un don de spermatozoïdes. Les attentes des couples pour un don de gamètes sont longs, parfois de plusieurs années. Depuis quelques années, des milliers de femmes célibataires et couples de femmes se rendent à l'étranger pour faire un bébé dans des pays où la PMA est autorisée indépendamment de l'état civil et de l'orientation sexuelle, principalement la Belgique et l'Espagne. En 2014, dans la foulée de la loi sur le Mariage pour tous, la cour de Cassation a validé la possibilité d'adoption par la conjointe, au sein d'un couple de femmes, d'un enfant conçu par insémination artificielle à l'étranger. La Manif pour tous craint que son ouverture en France mène à l'avénement d'une «fabrication d'enfants» sans père. La communauté LGBT la réclame à l'inverse comme une mesure d'égalité. L'avis du CCNE Le comité d'éthique se dit favorable à l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes célibataires. Jusqu'ici, elle n'est autorisé que pour les couples hétéosexuels infertiles. François Hollande avait indiqué pendant son mandat qu'il attendait cet avis pour légiférer sur l'ouverture de la PMA. Une attente qui a été interprétée comme une manière de reculer sur ce projet de réforme, devenu explosif après les fortes mobilisation de la Manif pour tous contre la loi Taubira. Pendant la campagne, Emmanuel Macron a pour sa part indiqué qu'il était favorable à l'ouverture de la PMA à toutes les femmes. Mais il a lui aussi déclaré qu'il attendrait l'avis du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) sur ce sujet sensible «afin d'assurer dans la société un vrai débat, pacifié et argumenté». Le nouveau président du CCNE a par ailleurs annoncé que des états généraux de la bioéthique devraient être organisés en 2018 pour préparer la révision des lois de bioéthique qui concernent notamment le sujet de la PMA. Un calendrier qu'Emmanuel Macron pourrait invoquer pour éviter de s'emparer immédiatement de ce dossier épineux. • GPA (gestation pour autrui): c'est non Le constat Prohibé en France depuis les premières lois de bioéthique de 1994, le recours aux mères porteuses avait déjà fait l'objet d'un avis du CCNE en 2010. Ce dernier s'était prononcé contre la légalisation de la GPA en France en raison du risque de marchandisation du corps humain et du non-respect de la femme porteuse. À l'inverse, en 2008, un rapport sénatorial préconisait de légaliser une GPA encadrée et «altruiste». Sous le mandat de François Hollande, le débat a avant tout porté sur la reconnaissance en France de la filiation des enfants nés par GPA à l'étranger. L'avis du CCNE Le comité d'éthique reste opposé à la gestation pour autrui (GPA) et donc au recours aux mères porteuses en France. Pendant la campagne, Emmanuel Macron a déclaré qu'il n'était pas favorable à son autorisation «qui pose une question sur la dignité du corps de la femme». Mais il a promis d'oeuvrer pour la reconnaissance en France des enfants nés d'une GPA à l'étranger. Cette position a été critiquée par les anti-GPA qui craignent que cette reconnaissance des enfants entraîne des propositions pour instaurer une GPA «éthique» et l'autorisation en France de ce mode de procréation. La Manif pour tous estime enfin que l'ouverture de la PMA aux couples de femmes, réponse à une infertilité «sociétale», entraîne par «effet dominos» la légalisation de la GPA au nom d'un «droit à l'enfant». • Autoconservation d'ovocytes: le CCNE ne suit pas l'avis de l'Académie de médecine Le constat L'Académie de médecine s'est prononcée la semaine dernière en faveur de cette nouvelle «révolution» de la maternité afin de permettre aux femmes de procréer plus tard. En 2015, un décret avait laissé entrevoir une évolution en autorisant les femmes sans enfants à faire don de leurs ovocytes et à en conserver une partie pour elles-mêmes. Une brèche dénoncée par nombre de médecins et de spécialistes de l'éthique comme un «chantage». De plus, le nombre d'ovocytes prélevés n'est généralement pas suffisant pour permettre une autoconservation pour les donneuses. Dans un manifeste paru dans Le Monde en 2016, 130 médecins et biologistes ont plaidé l'autorisation de l'autoconservation d'ovocytes pour «convenance personnelle» à l'heure où les femmes deviennent mère de plus en plus tard. Ils avaient aussi plaidé pour l'ouverture de la PMA à toutes les femmes et à la levée de certaines restrictions sur le diagnostic pré-implantatoire (DPI) qui permet de détecter des anomalies génétiques de l'embryon. L'avis du CCNE Le CCNE s'est déclaré contre «la proposition d'autoconservation ovocytaire à toutes les femmes jeunes qui le demandent, en vue d'une hypothétique utilisation ultérieure». Ce n'est pas «une ‘solution magique' pour faire face au décalage de l'âge de la grossesse et ça ne garantit pas une maternité», précise le texte. Le sujet avait fait polémique en 2014 quand Apple et Facebook avaient annoncé qu'ils proposaient de financer la conservation des ovocytes des femmes désireuses de faire carrière chez eux. Moins médiatisé que les sujets de la PMA et de la GPA, il n'est pas entré dans le débat politique.

1er juillet 2017


Mère courage et vie de combats, notre Simone est morte à 89 ans. Sa place, elle la mérite bien!

De nombreux appels à inhumer Simone Veil au Panthéon.

VIDÉOS - Les hommages se multiplient depuis le décès de Simone Veil vendredi matin à l'âge de 89 ans. Des voix s'élèvent pour réclamer sa panthéonisation. Plusieurs pétitions ont également été adressées à Emmanuel Macron.

Simone Veil sera-t-elle inhumée au Panthéon? Parmi les nombreux hommages rendus à cette grande dame, des dizaines de milliers d'internautes, des associations et de nombreuses personnalités appellent à la «panthéoniser». Seules quatre femmes sont actuellement inhumées sous la devise «Aux grands hommes, la patrie reconnaissante», dont deux sont entrées en 2015, Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle-Anthonioz. Elles ont rejoint Sophie Berthelot et Marie Curie.


20 juillet 2017


Info pour Monimambo à trois jours de l'anniversaire des coups de marteau: Sida : le nombre de morts liés au virus baisse de moitié en 10 ans En 2016, 1,8 million de nouvelles infections par le VIH ont encore eu lieu dans le monde. Mobilisation lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida (illustration) Mobilisation lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida (illustration) Crédit : FLORIAN SCHUH / DPA / AFP Émilie Jéhanno

et AFP Partager l'article

publié le 20/07/2017 à 11:33

C’est "un tournant décisif qui a été franchi" pour l’ONU. Un million de personnes sont décédées de maladies liées au sida en 2016, soit presque moitié moins que lors du pic de décès atteint en 2005, où 1,9 million de personnes étaient décédées, selon un rapport de l'Onusida publié jeudi 19 juillet.

Plus de la moitié des malades dans le monde sont désormais sous traitement et le nombre de nouvelles contaminations par le VIH continue de décliner. Mais, regrette l’Onusida, ce rythme est encore trop lent. En 2016, 19,5 millions de personnes, sur les 36,7 millions qui vivent avec le VIH avaient accès aux traitements, soit plus de 53%. À lire aussi Des personnes profitant du soleil à Lyon (illustration) société Comment profiter des bienfaits du soleil sans risque

"Notre lutte pour mettre fin au sida ne fait que commencer. Nous vivons des temps fragiles et les progrès accomplis peuvent être facilement effacés", avertit cependant Michel Sidibé, directeur exécutif de l'Onusida.

1,8 million de nouvelles infections par le VIH ont encore eu lieu en 2016, soit une contamination toutes les 17 secondes en moyenne. Ce chiffre est en baisse régulière, très loin du maximum de 3,5 millions de nouvelles contaminations atteint en 1997. L’Onusida vise un objectif de 550.000 nouvelles contaminations en 2020.

Il n'existe pas encore de vaccin contre le VIH ou de médicament guérissant du sida. Les personnes séropositives doivent suivre un traitement par anti-rétroviraux tout au long de leur vie, pour empêcher le développement du virus. La rédaction vous recommande

Six conseillers de Trump sur le Sida démissionnent à cause de son "désintérêt" VIDÉO - Cannes 2017 : Robin Campillo rend hommage aux victimes du sida Sida : les trithérapies ont augmenté l'espérance de vie de 10 ans en Europe et en Amérique du Nord 23e édition du Sidaction : l’épidémie a été banalisée


20 juillet 2017



22 juillet 2017


LETTRE OUVERTE A AUGUSTIN ODIMBA OMAKOKO (Ango)

22 juillet 1991 - 22 juillet 2017: coups de marteau, 26ème anniversaire Ce jour-là, tu me demandas de l'argent pour une visite à Nancy. Je savais que Lucie O. y résidait et qu'elle était enceinte de toi. D'où ma colère: "cette femme doit savoir que tu es porteur du virus du sida pour prendre ses dispositions, Si tu ne lui dis pas, je prendrai ma responsabilité", ai-je insisté. La suite, tu la connais: trois coups de marteau.

En 2017 tu excelles toujours dans les dénégations, ton obsession de manipulateur étant de continuer à installer un climat de confusion sur les thèmes principaux de mon livre: la thèse de doctorat, le sida, les coups de marteau ou la violence conjugale. Le but de mon témoignage est avant tout préventif. Je continuerai de sensibiliser, que cela plaise ou non à mon bourreau.

Concernant la thèse, en 2012, j'ai demandé à mes deux amis professeurs des universités leur point de vue après la lecture de mes "dissertations". Ils étaient unanimes: les deux textes sont écrits par la même personne. Sans entrer dans les détails, on peut le remarquer tout de suite en lisant les introductions, les conclusions et les bibliographies. Je parie que tu n'as même pas réalisé, par exemple, que 95% de notes bibliographiques de ma thèse sont reprises dans "ta thèse". Dans la mesure où je n'ai pas lu grand chose de plus pour composer le chapitre demandé par le directeur de thèse en France. Si je ne suis pas allée plus loin dans ma revendication, c'est tout simplement parce qu'ils ont attiré mon attention sur ce que je risquais...

Mentir à ton interlocutrice que tu n'es pas séropositif et qu'il n'y a jamais eu de marteau est une insulte à son intégrité mentale. Car, sans parler de moi, c'est surtout son cas qui nécessitait une prise en charge rapide dès notre arrivée au Foyer Regain. Au lieu de l'utiliser comme un pion sur lequel t'appuyer pour te valoriser, tu devrais refaire le parcours de son traumatisme en interrogeant tous ceux qui sont intervenus pour mettre fin à ses jours et nuits hantés par ce qu'elle a vu et entendu, les termes sida, marteau ou couteau. Sa directrice d'école, les assistantes sociales (entre autres Cynthia et Sylvie), le psychologue place Broglie. A son âge, elle aurait ainsi menti sur tout ce qui sortait de sa bouche? Tu devrais plutôt lui présenter tes excuses pour les années de thérapie, pour avoir voulu vider son compte bancaire, avoir menti à la préfecture pour qu'elle soit chassée du territoire français, pour avoir envoyé une lettre et de faux documents à la Mairie de Strasbourg pour renier la paternité des filles (le responsable avait noté en passant que tu avais écrit parque de l'Etoile au lieu de parc).

Il ne faut pas faire croire que tu n'as pas été condamné pour les coups de marteau. Je n'ai porté plainte qu'après mon départ du foyer conjugal, c'est ce qui est conseillé à toutes les femmes victimes de violence. Tu as fait trois mois de prison. Après ta sortie sous contrôle judiciaire, tu en as profité pour te volatiliser dans la nature. Tu étais absent lors de ton jugement et tu as encore quelques mois de prison à faire et des dommages et intérêts à payer. Personne ne pouvait imaginer que tu te cachais dans un village de Suisse alémanique avant de t'installer à Berne 20 ans plus tard. Je peux réactiver la procédure maintenant que nous savons où tu es. Mais comme tu n'as jamais rien payé dans ta vie...Même tes enfants du sida ne sont pas à ta charge, alors les démarches n'auront aucun intérêt.

Il n'y a aucune comparaison entre Lucie O. que tu qualifies aujourd'hui de "pleurnicheuse" parce que tu n'as pas voulu l'épouser, Alice L. à qui tu prêtes le titre de "docteur ès Biologie", les deux mères de tes enfants du sida et moi. Si la dernière était réellement universitaire, elle aurait déjà remarqué ta "paranoïa aiguë", selon l'expert psychiatre du Tribunal de Grande Instance de Strasbourg et, surtout les traces corporelles dues à la Trithérapie. Elle devrait également se demander pourquoi tu refuses systématiquement de faire le test. Les études d'ONUSIDA ont démontré récemment qu'après des années de Trithérapie le virus devient indétectable dans le sang et le risque de transmission aux autres reste faible. Soit, au lieu de nier, tu devrais être sincère, parce que tes dénégations ne valent rien face à toute une institution, les Hôpitaux universitaires de Strasbourg, l'Hôpital de Hautepierre en particulier, qui découvrit le virus du sida dans ton sang lors de ton hospitalisation en décembre 1989; face au professeur Jean-Marie LANG (Médicale A) qui te prit en charge pour la Trithérapie - dès 1990 jusqu'à ta fuite - et ordonna un test pour moi en tant qu'épouse; face au docteur Marie-Antoinette DOERFLINGER, rue des pompiers qui nous apprit comment équilibrer le double traitement sida-diabète. Ces deux médecins sont devenus par ailleurs mes amis tellement j'avais besoin de leur soutien pour comprendre ton comportement vis-à-vis des femmes et de l'alcool malgré ton état de santé. Pour toi, l'Hôpital de Hautepierre, les deux médecins et moi sommes des menteurs? Tu devrais plutôt me remercier de t'avoir encouragé à commencer la Trithérapie le plus rapidement possible comme nous le conseilla le professeur Jean-Marie LANG alors que tu avais l'appréhension d'être pris pour un cobaye.

Un homme qui agit par ruse avec les femmes comme toi est une personne toxique, sans humanité ni loyauté et, donc, sans honneur. C'est un virus qui porte un autre, celui du sida. Comme lui tu travailles insidieusement, dans l'ombre, pour laisser ton monde dans le brouillard et refuse toute confrontation devant les tribunaux d'où peut jaillir la lumière.

Enfin si tu ne peux t'empêcher de fabriquer de fausses informations pour compenser ton manque d'amour-propre, de grâce respecte mes origines. Elles sont précieuses pour ma descendance.

Parole de victime qui ne fait que renvoyer la balle à son bourreau. Philomène Milolo


6 août 2017


La publication ci-dessous vient d'être proposée à mon attention par un chercheur de Louvain-la-Neuve et je ne peux m'empêcher de la partager pour ensuite dire ce que j'en pense.

Projet 2014 Un projet de société pour la RDC, vers une Union d'États Indépendants du Congo

Badibanga : Odimba signe… Publié le 22 décembre 2016 par Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu

Le Professeur Augustin Odimba aurait signé : Son Excellence Samy Badibanga ne serait pas diplômé d’un quelconque institut supérieur des sciences humaines de Genève. Selon le Prof. Odimba, un tel institut n’existerait même pas au terme de ses recherches. Qui alors mentirait aux Congolais, sciemment ou inconsciemment ? Notre premier ministre est-il donc un autre imposteur ? Comment devons-nous l’appeler exactement ? Est-il le naturalisé belge Sambady Badibanga Ntita, né à Kinshasa (Congo) le 12 septembre 1962 ou quelqu’un d’autre ? Quoi qu’il en soit, la manière dont son gouvernement prolonge les tueries, n’en dit-elle pas long sur l’incongruité de sa présence à la primature ? Nous vous passons qui nous parvient d’un contact Skype sur le premier ministre déjà assassin…

À propos de la biographie de Samy Badibanga. Mes chers compatriotes, Je me permets de corriger une fausse information concernant la biographie de notre nouveau Premier ministre Sammy Badibanga: il affirme malhonnêtement qu’il avait étudié à l’institut supérieur des sciences humaines de Genève ( 1986) ; l’institut dont il est question n’existe nulle part à Genève et dans toute la Suisse. De 1980 – 1989, dans le canton de Genève, voici la liste des instituts supérieurs: 1. Institut universitaire de hautes études internationales. Les anciens diplômes congolais de cet institut sont: – Bulaluete Mbwembo, prof. à l’unikin. – Mutombo Kanyana, consultant à Genève. – Menga Roger Julien, ambassadeur du Congo- Brazzaville – Mavungu ne nzita, ancien ambassadeur du Congo RDC, auprès de l’U.E.

2. Institut universitaire d’études du développement. Les diplômés congolais: – Ntumba Bakajika ( certificat ), – Kilola Gayombo-Mvaka ( diplômé ), – Lukombo Nzatuzola joao Baptista ( diplômé ), – Mabuya Ndumba ( diplômé ), Tshingeji Mulopo ( diplômé ), – Kazadi Ngoi tshikala ( diplômé ), – Mabuya Ndumbu ( certificat ), – Owandjalo Welo Okitawato ( diplômé ), prof. Unikin. 3. Institut universitaire d’études européennes. – Nzita Na Nzita ( certificat ), – Kabeya Lutonga Philippe ( diplômé ), – Odimba Omakoko Augustin ( diplômé ), – Durao Barroso José Manuel ( diplômé ),futur président de la Commission européenne. Mes chers compatriotes, Monsieur Sammy Badibanga doit présenter au peuple congolais une biographie crédible. Mes sources sont: les Dies Academicus de l’Université de Genève de : 1984, 1985,1986, 1987, 1988. Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose..! Prof. Augustin Odimba


6 août 2017


Dans "Projet 2014" Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu reprend les propos d'Augustin Odimba, publiés dans "MBOKAMOSIKA", dénonçant l'imposture de la bibliographie du premier ministre congolais. Augustin Odimba termine par "Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose..."

Voilà une fin qui attise mon interrogation! Augustin Odimba contre Samy Badibanga? C'est l'hôpital qui se moque de la charité. Augustin Odimba devrait appliquer le "balaie devant ta porte avant d'aller balayer devant celle du voisin".

Je peux me demander, à juste titre, - si un homme possédant des diplômes non mérités, car ni "sa thèse", ni "son mémoire" de l'Institut universitaire d'études européennes n'ont été conçus et rédigés par lui-même; - si un homme se proclamant professeur et chercheur indépendant à Berne tout en sachant que ces appellations associées à son nom se résument à des coquilles vides et non à des activités réelles; - si un homme qui se sait porteur du virus du sida depuis décembre 1989 et qui a fait ensuite des enfants à deux femmes, leur cachant sciemment son état de santé; - si un homme obsédé par la fabrication des faux pour tourner en dérision et décrédibiliser la parole de celle qui détient la vérité; - si, en définitive, un gourou de la manipulation est vraiment la personne habilitée, c'est-à-dire, la mieux placée pour s'ériger en modèle de vertu et dénoncer l’imposture intellectuelle et le manque de crédibilité du premier ministre congolais?

Je saisis cette occasion pour renvoyer Augustin Odimba à quelques références qui peuvent démonter son argument de défense indigène. Il suffit de taper dans Google "procès sur le sida" pour savoir qu'un séropositif malhonnête peut tromper cinq partenaires et ne contaminer soit qu'un seul, soit, tous les cinq, soit encore aucun. Mais les séropositifs honnêtes et dignes (qui s'investissent même dans la prévention) sont conscients que la vie des autres ne peut pas être une loterie. D'ailleurs, dans les années 90, je n'étais pas l'unique "épouse du patient" dans le Service du professeur Jean-Marie Lang à être séronégative. Et le professeur estimait même que le cas des partenaires non contaminés était intéressant pour une étude scientifique.

Ainsi, par respect pour toutes ces femmes sciemment mises en danger à leur insu le terme "crédibilité" et l'expression "imposture intellectuelle" devraient être éradiqués de ton vocabulaire.

Philomène Milolo


7 août 2017


Augustin Odimba - Samy Badibanga

"Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose...", dit-il au premier ministre congolais. C'est l'hôpital qui se moque de la charité. Dans la mesure où Augustin Odimba ment aux femmes qu'il n'est pas porteur du virus du sida, alors qu'il le sait des sources médicales depuis décembre 1989, il devrait d'abord balayer devant sa porte avant d'aller balayer devant celle du premier ministre.





17 août 2017


Augustin ODIMBA Augustin ODIMBA Omakoko et le TasP "Le TasP - treatment as prevention - signifie que les personnes séropositives (qui vivent avec le VIH), lorsqu'elles prennent correctement leur traitement et que leur charge virale est dite "indétectable" depuis plus de six mois, ne peuvent plus transmettre le virus à leur(s) partenaire(s) séronégatif-ve(s)". Or la fille de la femme de Nancy est née en 1992 et le garçon de la femme de Berne en 1997 alors qu'Augustin ODIMBA, lui, avait commencé la Trithérapie en 1991. Faites le calcul! Ne rien dire à l'autre est une question d'éthique. Et si tous les séropositifs agissaient ainsi... Une charge virale "indétectable" n’aboutit cependant pas au néant lors d'un test. Celui-ci révèle toujours la séropositivité. Voilà pourquoi Augustin ODIMBA refuse catégoriquement (et systématiquement) de faire le test lorsqu'on le lui demande. A moins que ça ne soit sous la pression de la justice. N'hésitez pas à visiter le local AIDES le plus proche de chez vous si vous avez des questions.


19 août 2017


Augustin ODIMBA Augustin ODIMBA Omakoko et le délai de prescription pénale de ses infractions

En fuite, il s'est caché pendant plus de 10 ans et réapparaît parce qu’il sait que le délai de prescription pour ses différents délits s'est écoulé. Regrettable qu'un fugitif s’exonère de sa dette.

Mais le plus instructif et glaçant, c'est ce que je viens d'appendre aujourd'hui: après mon départ du domicile conjugal, il a menacé de tuer les voisins. Ce qui a nécessité l’intervention du GIGN un jour à 6 h du matin.

Dites-moi: est-il devenu fou parce que je suis partie ou parce qu'il craignait que je révèle son état de santé?


22 août 2017


Robin Campillo : « Il m’a fallu du temps pour parler du sida »

Le réalisateur de « 120 battements par minute », ancien d’Act Up, dit comment le VIH a changé son rapport au cinéma.

LE MONDE | 22.08.2017 à 07h53 • Mis à jour le 22.08.2017 à 15h56 | Propos recueillis par Isabelle Regnier

Félix Maritaud joue le rôle de Max, un militant d’Act Up-Paris, dans « 120 battements par minute », de Robin Campillo.

Célébration du combat d’Act Up-Paris, l’association de lutte contre le sida qui défraya la chronique en France dans les années 1990, 120 battements par minute arrive sur les écrans auréolé de la ferveur qu’il a suscitée à Cannes et de l’aura du Grand Prix qu’il y a remporté. Pour Robin Campillo, militant dans l’association au cours des années 1990, c’est plus ou moins consciemment le projet d’une vie. Le cinéaste a vu son rapport au cinéma bouleversé par l’irruption du sida, et n’a signé son premier film, Les Revenants, qu’à l’âge de 42 ans, en 2004 (il est par ailleurs scénariste, notamment pour Laurent Cantet, avec qui il a coécrit L’Emploi du temps, Entre les murs ou encore L’Atelier, en salle le 11 octobre). En 2014, dans l’électrisant Eastern Boys, il affirmait un rapport au corps et un point de vue politique frontal qui allaient infuser 120 battements par minute.

Comment êtes-vous arrivé à Act Up ?

C’était en 1992, après dix ans d’épidémie. J’arrive assez furieux d’avoir pris conscience qu’on avait désigné très fort les gays par ce terme stigmatisant de « groupe à risque ». La société nous définissait comme des victimes potentielles de l’épidémie sans nous donner aucune visibilité.

Pendant la décennie précédente, comment avez-vous vécu l’épidémie ?

J’avais 20 ans en 1982. J’ai tout de suite senti que quelque chose de très, très grave allait se passer. J’étais en province, j’avais des petits copains, mais je n’étais pas tellement dans le milieu gay. C’était le moment où paraissaient les premiers articles de Libération sur le kaposi [les lésions ­cutanées provoquées par le VIH], les abominables photos de ce couple gay malade dans Paris Match… Les textes étaient délirants. On ne savait rien sur les modes de transmission, l’inquiétude était très forte. J’avais le sentiment qu’on nous annonçait...

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24 août 2017


Prof. Augustin ODIMBA Prof. ? En août 2011, la photo qui exhibait son fils de Berne pour son 60ème anniversaire avait dû être retirée du site début 2012. En 2017 MBOKAMOSIKA fait encore la publicité d’un homme indigne de tout respect. Pour son 66ème anniversaire (dont 28 ans de séropositivité savamment dissimilée à toutes ses conquêtes comme évoqué dans La fille du couvent), il utilise et expose sur le même site une fille (et son bébé) qu’il n’a pas élevée, celle qu’il a voulu diaboliquement contaminée (La fille du couvent) alors qu’elle n’avait que 5 ans et dont la pension alimentaire n’a jamais été honorée. Et la pauvre Darlène abandonnée à Nancy et qui n’existe pas pour son « notaire » parce que « née hors mariage » selon ses propres termes.



22 oct. 2017


Dénonçons tous ceux qui dominent par le sexe!


28 octobre 2017



30 oct. 2017








1er nov. 2017




1er nov. 2017








3 nov. 2017


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5 nov. 2017















9 novembre 2017


J'ai suivi toutes les corrections au domicile colmarien du professeur.










10 novembre 2017



14 novembre 2017












15 novembre 2017






18 novembre 2017







22 novembre 2017










23 novembre 2017









25 novembre 2017








28 novembre 2017



Vendredi 1er décembre, c'est la Journée mondiale de lutte contre le sida. Selon l'obs, chaque année 6000 nouveaux cas de séropositivité découverts en France. Une pensée pour Monimambo. Malgré le déni, ça ne doit pas être simple quotidiennement: la trithérapie qui réduit la charge virale est un traitement lourd.




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