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Les événements générés par la publication

Dernière mise à jour : 19 janv. 2022

La parution de La fille du couvent est mis au programmes des célébrations du 8 mars, de centres sociaux même de la paroisse Saint Bernadette.


Le respect des autres La fille du couvent place cette année sous le signe de la vigilance, cette photo en dit long pour vous tenir en éveil : Monimambo (Moni) l’a utilisée au mois d’août 2011 pour mentir au blog Mbokamosika, une aubaine pour Nguya qui s’en sert ce 8 mars 2012 pour une bonne cause : le respect des autres. En effet, cet enfant est né en 1997. En 2007 son père cachait toujours à sa mère qu’il était porteur du VIH et que son remariage n’avait aucune validité (cf. chapitre 22 : Moni, « le Suisse, originaire de Wynigen, Berne).

Alors que le récit obsolète des enlèvements d'enfants en Ouganda et la situation au Sud-Soudan émergent dans les médias, une Congolaise pose cette question : "Est-ce que la femme congolaise fait encore partie des êtres humains ?"



Marie (et mai, mois de Marie), est un des piliers de La fille du couvent. La mère de Jésus et notre mère, à tous, est un refuge de velours pour Nguya. - Chapitre "La découverte de la cathédrale St-Nicolas", page 99.


« La fête des mères » Dites : « merci maman » avec le livre La fille du couvent. C’est une ressource inépuisable pour toute mère.


Le Figaro du 13 juillet 2012 : "Faire baisser le nombre de femmes qui meurent sous les coups de leur conjoint, c’est l’objectif de cet outil. Après avoir été expérimenté en Seine-Saint-Denis, dans le Val-d’Oise et le Bas-Rhin, le téléphone d’urgence est lancé dans la capitale. "





ALERTE !

Après un long repli Monimambo a recommencé : la cellule de surveillance de mon courrier vient de m’informer ce matin avoir détruit, mi-juillet, une enveloppe venant de lui. Du bon travail ! Il est toujours à l’affût d’un moyen de pression tout en sachant que sa lettre n’a aucune chance d’être lue par Nguya (cf. La fille du couvent, pp. 518-519). Ses lettres jugées comme le fruit de la paranoïa (rapport de l’expert psychiatre du tribunal en juin 1994) manquent d'inté… Voir plus

1 août 2012 · L’enseignement de l’histoire en République Démocratique du Congo (ex. Zaïre) : diagnostic (1960-1980), thèse de doctorat L’histoire de ce texte, soutenu par Monimambo le 12 nov. 1993 à l’Université Marc Bloch et publié chez P. Lang en 1999, commence à l’Université de Genève. Lorsque Moni demande à celui dont il se targue d’être un ancien étudiant, il essuie un refus (lettre du 9 septembre 1985). Le recteur, qui a dirigé plusieurs thèses en histoire contemporaine, est justement parmi les professeurs persuadés que Moni n’est « pas assez doué pour rédiger une thèse » (La fille du couvent, p. 184). Pour ce rejet, oui, Moni garde certainement un « souvenir ineffaçable ». D’où cette phrase : « Dites à votre mari que je suis docteur », écrit-il à mon amie après la soutenance d’un texte qu’il n’a jamais écrit, pour narguer bien sûr. Allez donc comprendre son hommage précipité? En ce 1er août 2012, belle fête nationale à Claude, Jean-Claude et tous mes amis Suisses ! 1 août 2012 · L’enseignement de l’histoire en République Démocratique du Congo (ex. Zaïre) : diagnostic (1960-1980), thèse de doctorat L’histoire de ce texte, soutenu par Monimambo le 12 nov. 1993 à l’Université Marc Bloch et publié chez P. Lang en 1999, commence à l’Université de Genève. Lorsque Moni demande à celui dont il se targue d’être un ancien étudiant, il essuie un refus (lettre du 9 septembre 1985). Le recteur, qui a dirigé plusieurs thèses en histoire contemporaine, est justement parmi les professeurs persuadés que Moni n’est « pas assez doué pour rédiger une thèse » (La fille du couvent, p. 184). Pour ce rejet, oui, Moni garde certainement un « souvenir ineffaçable ». D’où cette phrase : « Dites à votre mari que je suis docteur », écrit-il à mon amie après la soutenance d’un texte qu’il n’a jamais écrit, pour narguer bien sûr. Allez donc comprendre son hommage précipité? En ce 1er août 2012, belle fête nationale à Claude, Jean-Claude et tous mes amis Suisses !

ALERTE !

Après un long repli Monimambo a recommencé : la cellule de surveillance de mon courrier vient de m’informer ce matin avoir détruit, mi-juillet, une enveloppe venant de lui. Du bon travail ! Il est toujours à l’affût d’un moyen de pression tout en sachant que sa lettre n’a aucune chance d’être lue par Nguya (cf. La fille du couvent, pp. 518-519). Ses lettres jugées comme le fruit de la paranoïa (rapport de l’expert psychiatre du tribunal en juin 1994) manquent d'inté… Voir plus 3 septembre 2012 ·

Mbokamosika Au mois d’août 2011, des «données personnelles» erronées et une photo familiale vous ont été fournies par Monimambo afin d’obtenir un «Joyeux anniversaire au prof…». Une première! Choqués, certains Mbokatiers, lecteurs de La fille du couvent, m’ont contacté pour dénoncer la mascarade. Tout était donc faux dans le message initial: «Lorsqu’on ment, on a quelque chose à cacher», dit-on. C’est vrai, si on connaît l’homme, on peut facilement lire le dessous de son besoin de vouloir, à tout prix, bénéficier d’une auréole de «sage». Il est bien sûr guidé par l’intention de détourner l’attention du livre La fille du couvent, un miroir qui lui renvoie sa véritable image. Dans cet ouvrage justement, qui relate les faits avérés, le roi est nu (La fille du couvent, p. 491). Aussi, il était de mon devoir moral de réagir – tardivement sans doute-, tant l’enjeu pédagogique était évident: un «sage» dans la tradition orale et l’éducation en Afrique est un homme de confiance. Défendre ses convictions vaut plus que la crainte d’une menace. Voilà pourquoi j’ai osé illustrer deux extraits de mon livre par ladite photo sur ma page Facebook. C’est la liberté d’information et d’expression. Hélas, je viens d’apprendre que, sous prétexte du droit à l’image, Monimambo se démène pour l’effacer de mon compte Facebook. Quelle importance? L’objectif de mon affichage est déjà doublement atteint: vous savez qui est Monimambo et vous pouvez ainsi protéger une mère, une sœur ou une amied’un piège; Moni, lui, est assez sain d’esprit pour réaliser qu’un mensonge est une arme à double tranchant qui peut se retourner contre celui qui s’en sert. Il est clair que je n’ai plus besoin de cette photo, il me faut maintenant penser à ces deux victimes, une femme et son enfant, qui y figurent, sournoisement exposées à leur insu et pour lesquelles je me suis battue en 2007 (La fille du couvent, chapitre 22, p.503). Par respect pour elles, je fais disparaître cette photo de ma page Facebook, tout en gardant, intacts, les extraits du livre qui l’ont accompagnée et que je regroupe par souci de cohérence. Enfin je saisis cette occasion pour exprimer ma reconnaissance aux bâtisseurs de ce blog: non seulement ils m’ont offert l’opportunité de réactiver mon combat, mais ils m’ont également fait découvrir, en le feuilletant, un outil fédérateur, d’une hauteur indéniable. Il est à la fois l’actualité et une merveilleuse réimpression des souvenirs du terroir. Je m’incline et vous dis : «chapeau»! Mama Philo


Rendez-vous ce soir 18h30 pour écouter mon témoignage "La parole libérée" et débattre autour de thèmes relatifs à mon livre. Venez nombreux ! - Salle Antoine Chevrier (place Nicolas Poussin)


Discussion et échange de qualité sur le thème des violences faites aux femmes. Merci de tout coeur à tous les participant(e)s. Venus d'horizons différents, nous avons pourtant dressé sans peine le portrait robot du bourreau type, comme si chacun de ces hommes "sortaient de la même école". Merci enfin à la Ville & Communauté urbaine de Strasbourg d'avoir initié cet événement.

Une femme meurt en France tous les deux jours et demi sous les coups de son conjoint. Seule une femme maltraitée sur dix porte plainte...

"L'étude relève que ces meurtres sont de plus en plus souvent prémédités, puisque la part des assassinats a doublé en un an, représentant désormais 40 % des homicides volontaires. Les victimes collatérales de ces violences sont principalement les enfants. Onze enfants mineurs et deux enfants majeurs ont perdu la vie en 2011 (contre 6 en 2010). S'y ajoutent les deux foetus de deux femmes tuées alors qu'elles étaient enceintes."



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