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Echos dans la presse

Dernière mise à jour : 8 janv. 2022



Bonjour, Je suis très fière d'avoir enfin fini "la fille du couvent". Je sais, j'ai mis le temps. Merci de l'avoir écrit. J'y puise du courage. La fin est très forte. Je trouve le livre très bien écrit. Une très belle leçon de courage ! Je t'embrasse Anne-Marie

Comme un feu d'artifice La fille du couvent explose dans tous les sens: larmes et chansons, tradition et modernité s'entremêlent allègrement. L’écriture est aussi une musique qui remonte du fond, mais pour la femme en trop-plein de souffrance elle reste, pour l'essentiel, intérieure. Le texte est authentique. C'est sa force.


L'Alsace 23 novembre 2010


Les violences conjugales, un livre incontournable : La fille du couvent de Philomène Milolo (CITATIONS ET ANECDOTES)


« Eh, sœur Philomène, vous êtes de quelle congrégation ? » Non, Philomène n’est pas une religieuse. Elle est une fille de religieuses parce qu’elle ne connaît que ces femmes consacrées comme parents. « Maman, c’est quoi docteur ès Lettres ? C’est un médecin des mots et des phrases ? » On peut également le voir comme ça. Il est surtout… « Aujourd’hui le monde bouge et tout roule plus vite qu’hier. Rien ne peut l’arrêter ». « Un souvenir (…) entretient la nostalgie et (…) pousse à cultiver ses racines ». « Un ensorceleur ne fait pas les choses à moitié ». « La table du clergé est un espace de maître. Dieu n’est jamais loin. La conversation est de très haut niveau parce que très souvent internationale. Comme dans une succulente salade mêlée, l’animation présente tant de variétés, délices à croquer sans modération ». « On a beau avoir une grand’mère et une mère épouses de polygame, ce n’est pas une garantie d’immunisation contre ce poison. Le partage ne peut être ni un compagnon, ni une présence, moins encore un soutien ». « En Afrique l’intellectuel de la famille c’est l’homme(…). Il n’aime pas l’humiliation ». « (…) l’inspiration d’une mère est une veilleuse, toujours de bon conseil ». « Lorsque le passé ne reste pas totalement endormi, il étouffe le présent. Leur affrontement est quotidien et complique affreusement l’existence ». « Un arbre est dans ses racines justement comme un enfant dans ses géniteurs ». « La confiance en soi est le pied de l’espoir ». « L’arbre à palabre se plante même là où on ne l’imagine pas, en Europe ». « (…), son bol de riz vaut plus que celle qui le prépare. Ca, il faut le vivre pour le croire ». « Un papillon se pose de temps en temps sur une fleur, mais il reste papillon et continue à voltiger ». « Entre incertitude et espoir, la prière est la première marche de la montée ». « La prière agit comme un calmant sur mes nerfs, comme une potion magique qui me libère de mes angoisses (…). Elle agit comme une berceuse contre ma douleur. (…). C’est la clef de voûte de mon équilibre ». « Lorsque les sages ont parlé, il est rare que ça se passe autrement ». « La jeunesse c’est l’ouverture. C’est la vie et elle est sans frontière. La jeunesse c’est comme la flamme olympique, elle passe d’un pays à l’autre ». « Un oui n’est pas toujours affirmatif, tout comme un nom n’est pas toujours négatif ». « Même l’optimisme aveugle finit par voir l’étincelle ». « Une mort sans auteur ne serait pas une mort chez les Africains ». « La culture et la tradition qui empêchent l’individu de s’ouvrir constituent une prison. Autant de familles imperméables, autant de prisons culturelles dans la ville ». « Comme une tempête qui emporte tout sur son passage, il aurait souhaité que sa maladie soit une vague meurtrière pour toute la famille ». « Un mari fera toujours ce qu’il voudra, même s’il sait que son sexe est devenu une arme et peut tuer (…) ». « Entre le mariage et les faits, c’est le même fossé qu’entre le rêve et la réalité. Les mots bonheur – amour… résonnent comme des paradis inaccessibles ». « Pour elles, l’amour, l’union se disent et ne se vivent pas. C’est parce qu’ils ne se vivent pas qu’ils se disent ». « Il n’a rien d’un mari et d’un père mais il exige une épouse et un fils ». « Lorsqu’on sert d’appui à une échelle on aimerait un jour être à la place de celui qui la monte. C’est humain ». « Le danger est prévisible, surtout lorsqu’on le porte en soi ». « C’est important qu’elle (la femme) sache tourner aussi rapidement les pages d’un livre que la cuillère dans une casserole ». « Il n’a rien que l’on puisse respecter, mais il veut se donner une posture respectable ». « Le problème avec l’homme à plusieurs femmes c’est qu’il ne sait pas qui est sa femme ». « Tout son milieu est un conditionnement à la polygamie, il a engendré une chaîne dont le dernier maillon ressemble au premier ». « On ne se débarrasse pas aussi facilement des années d’obsession et la femme en est une qu’aucune digue ne peut contenir ». « Le temps ressemble à la femme. L’heure n’est pas la même pour toutes, la priorité aussi ». « L’espoir du début de l’union s’est écroulé comme un château de cartes, entraînant avec lui notre dignité ». « Nos différences, loin d’être des clôtures sont des voies d’articulations entre nos cultures ». « La nuit n’est pas plus sombre que nos cœurs ». « J’ai tellement reçu des coups qu’ils cognent encore ». « La violence a construit un mur dans nos têtes, ne laissons pas l’intolérance en monter un autre, (…) ». « Un secret lourd est une bombe pour la conscience ». « Une femme qui n’a pas fait son ménage est une femme qui n’a pas pris son bain ». « La graine de l’angoisse une fois logée dans l’esprit est une plante fertile sur le terrain de l’imagination ». « La violence entre époux n’a d’amis que l’isolement et le silence ». « Je me suis mariée avec un agneau et je me sépare d’un lion qui n’avait d’autre but que de me faire peur tous les jours ». « La vie de tous les jours vous déshabille peu à peu, le mystère tombe jusqu’à vous laisser nus l’un en face de l’autre ». « Il y a des mâles pour qui la solution à tous leurs ennuis est une femme ». « Il se conduit comme un prédateur. Et son terrain de prédilection, en tant que chasseur, c’est la Suisse ». « Il voit en moi le symbole de l’interdit et, parce qu’il ne veut rien s’interdire, je suis devenue son ennemie ». 1- juillet 2010

Comme un feu d'artifice La fille du couvent explose dans tous les sens: larmes et chansons, tradition et modernité s'entremêlent allègrement. L’écriture est aussi une musique qui remonte du fond, mais pour la femme en trop-plein de souffrance elle reste, pour l'essentiel, intérieure. Le texte est authentique. C'est sa force.


24 novembre 2010

Le colloque au Conseil de l'Europe ce lundi s'est bien passé. Beaucoup de participants, beaucoup de questions pertinentes. Mon livre est toujours disponible dans toutes les bonnes librairies ainsi que sur amazon.com et fnac.com. 27 novembre 2010 ·

http://www.editions-benevent.com/livre.php3... Lisez l'article du journal "La Liberté" écrit par Annick Monod, journaliste suisse, au sujet de mon livre !


Malgré l'amour, malgré les enfants, comment vivre avec un époux obsédé par la transmission du Virus ? Une des questions à se poser en cette journée internationale de lutte contre le Sida. Cette situation, je l'ai vécue. Lisez mon roman "La fille du couvent".


À toutes celles et tous ceux qui ont compris et soutenu les messages véhiculés par mon livre - et vous êtes nombreux - excellente année 2011 ! Que la flamme allumée par La fille du couvent fasse progressivement et durablement son chemin...


Hier, visite d'un photographe des DNA pour un article à paraître prochainement.


Ce soir à la messe, le prêtre : "Il y a des choses comme ça qui rendent heureux... Je suis en train de lire 'La fille du couvent' et c'est vraiment un livre passionnant."


Mes pauvres soeurs ! Même d'une autre région, leur sort m'intéresse. Il est tant de donner à toute femme le respect qui lui est dû ! (Reportage Unicef sur les violences sexuelles au Kivu, région de la République Démocratique du Congo)


Une page complète dans les DNA ce matin en honneur de la journée internationale de la femme !




À Strasbourg ce soir, après la messe solennelle.



Paroles de femmes dans "La fille du couvent". Etudiantes, enseignantes, religieuses...ou les femmes tout court, autant de personnalités, autant de prises de parole, autant de leçons de vie. Profitez de vos vacances pour les découvrir dans "La fille du couvent" de Philomène Milolo (Ed. Bénévent, 2010).

C'est le grand débat dans "La fille du couvent".

Face à face Christiane ROEDERER - Philomène MILOLO 2e édition, le 22 septembre 2012. L'accent a été mis sur la différence d'éducation entre Nguya et Monimambo. Moni n'a en outre cessé de harceler mes amis écrivains jusqu'à ce qu'ils le prient d'arrêter de leur écrire. Il n'a également jamais cessé de téléphoner à la CNIL et aux Éditions Bénévent pour proférer des menaces de mort à l'encontre de Nguya.

Face à face très productif entre Christiane Roederer et moi hier. Elle a avoué qu'en lisant le récit, elle aurait plusieurs fois souhaité me tendre la main pour que l'on s'enfuie ensemble. Nos études littéraires et notre milieu éducatif sont en effet des points communs qui font de nous des soeurs.

Très belle rencontre. Merci tout particulièrement à Christiane Roederer pour l'animation.

Dans le cadre d'un cycle "Strasbourg-Kinshasa", le Théâtre Jeune Public de Strasbourg proposait ce mois-ci une pièce intitulée "Kinsiona" (orpheline). Ç'aurait été un nom possible pour Nguya si elle n'avait pas eu la chance d'être recueillie par une famille aimante.


Dans le cadre d'un cycle "Strasbourg-Kinshasa", le Théâtre Jeune Public de Strasbourg proposait ce mois-ci une pièce intitulée "Kinsiona" (orpheline). Ç'aurait été un nom possible pour Nguya si elle n'avait pas eu la chance d'être recueillie par une famille aimante.


Rendez-vous à l'Escale, 40 rue de la Doller, vendredi 25 novembre de 8h30 à 10h30 pour un débat autour de mon roman "La fille du couvent". Cette rencontre se fait dans le cadre d'événements organisés par la Ville de Strasbourg afin de lutter contre les violences faites aux femmes.


Ceux qui ont porté à mon attention les deux gros mensonges de Monimambo (Moni), sur sa fausse date de naissance et sa photo datant de plusieurs années, ont raison. "Mbokamosika" ne pouvait pas savoir. Néanmoins les deux gros mensonges ont l'avantage de démontrer, encore une fois, publiquement le comportement d'un manipulateur incurable décrit dans mon livre. Inutile de faire œuvre d'éducation avec lui.

"Le Don Juan de la Cité de Calvin", dans La fille du couvent.

Lisez le livre ou offrez-le pour Noël. Nguya est une battante. Une leçon de vie, valable pour toute femme. Découvrez-la et faites découvrir, vous vous lèverez du bon pied pour démarrer 2012.


Dédiée à toute femme, La fille du couvent est une leçon de vie. La maîtriser, c'est plus de vigilance pour une année 2012 douce et paisible. Je la souhaite vivement à toutes et à tous. soyez assurés de toute ma gratitude pour vos mots encourageants.


Le respect des autres La fille du couvent place cette année sous le signe de la vigilance, cette photo en dit long pour vous tenir en éveil : Monimambo (Moni) l’a utilisée au mois d’août 2011 pour mentir au blog Mbokamosika, une aubaine pour Nguya qui s’en sert ce 8 mars 2012 pour une bonne cause : le respect des autres. En effet, cet enfant est né en 1997. En 2007 son père cachait toujours à sa mère qu’il était porteur du VIH et que son remariage n’avait aucune validité (cf. chapitre 22 : Moni, « le Suisse, originaire de Wynigen, Berne).














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